Les Coyotes ont peur de devoir jouer ailleurs qu’en Arizona dès la prochaine saison

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D’ici le 16 mai prochain, un référendum aura lieu à Tempe, en Arizona. En gros, si le référendum (sur le complexe de divestissement, incluant l’aréna des Coyotes) ne passe pas au conseil, le club sera dans le trouble.

Pourquoi? Parce que cela tuerait dans l’oeuf le plan de construire un aréna à Tempe.

Mais ce qui est intéressant, c’est que les Coyotes seraient, selon ce que rapporte Frank Seravalli, inquiets par rapport au futur du club. Selon l’informateur, les dirigeants du club feraient du porte-à-porte pour parler aux gens.

Pire encore? Tel que lu sur le site Habs et LNH, leur pitch de vente ne tournerait pas autour de l’aréna des Coyotes, mais bien principalement des autres installations dans le complexe. L’aréna de la LNH serait un point parmi tant d’autres pour convaincre les gens de Tempe.

Dans le cas où le référendum serait négatif pour le club, il faudrait donc envisager un plan pour la suite des choses. Et tant qu’à rester dans un aréna universitaire un an de plus, pourquoi ne pas déménager le club tout de suite?

Dans le cas d’un déménagement, Houston pourrait être une possibilité très logique pour les Coyotes.

Notons qu’à Houston, il y a un aréna de la LNH qui peut accueillir les Coyotes dès maintenant. Il existe donc un monde où le prochain match à domicile des Coyotes a lieu au Texas.

Comme Houston est dans le même coin que l’Arizona et que c’est un bon marché sur le radar de Gary Bettman, c’est possible.

Évidemment, cela va soulever la question de Québec. Le Centre Vidéotron, qui est de calibre de la LNH, est prêt et n’attend que le retour d’une équipe de la LNH.

Et même pour du junior, c’est plein : tout le monde du hockey l’a remarqué. En Arizona… ah pis laissez faire.

Vous savez cependant comme moi que la ville de Québec est loin d’être au coeur du projet de Gary Bettman. Il ne faut pas s’attendre à ce que ce soit vraiment une possibilité.

On va attendre au 16 mai, donc.