Parlons-nous franchement : cette signature ne passera certainement pas à l’histoire du Rocket de Laval.
Il n’en reste pas moins que l’on peut saluer l’initiative de l’organisation de ramener un Québécois dans son giron.
Yannick Veilleux retrouve donc ses anciens coéquipiers, paraphant un contrat de la Ligue américaine avec la nouvelle équipe.
Canadiens have agreed to terms on a one-year, two-way contract (AHL/ECHL) with Yannick Veilleux. https://t.co/caFAImcN9I pic.twitter.com/eSjOBrnCYB
— Canadiens Montréal (@CanadiensMTL) July 20, 2017
C’est donc dire que le natif de Saint-Hippolyte a obtenu un contrat à deux volets, pouvant être cédé dans la ECHL à tout moment.
La saison dernière, le Québécois a cumulé 16 points en 53 parties au sein des IceCaps de Saint John’s. Ainsi, un rôle de soutien attend cet ancien choix de quatrième tour des Blues de Saint-Louis.
Si rien ne change d’ici là, le Rocket devrait miser sur six patineurs issus du Québec lors de son match inaugural, ce qui est somme toute excitant.
Est-ce possible d’améliorer encore cette situation? Oui!
Au fond, le Rocket n’aura pas le choix de promouvoir la qualité de la relève du Canadien ainsi que ses patineurs locaux. Sans ces initiatives, comment penser que la Place Bell sera remplie chaque soir de match?
Car avouons-le, avec Sylvain Lefebvre et le peu de talent de la relève du CH, il y a une forte possibilité que cette équipe-là ne soit pas la plus excitante à aller voir…