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La punition d’Alex Galchenyuk est tout simplement inexplicable

C’est rare, mais des fois je suis d’accord avec les propos du Tigre, Michel Bergeron. Ce weekend, il s’est insurgé en soulignant que le purgatoire d’Alex Galchenyuk avait suffisamment duré. Il a amplement raison. C’est une punition qui s’éternise. Comme parent, laissez-vous vos enfants un mois dans leur chambre après une petite frasque? Non. On le sort… et on lui donne une nouvelle chance. On pardonne…

Claude Julien doit pardonner à Alex Galchechyuk. Les autres joueurs ne sont jamais punis, alors que le coach demeure plus strict avec son numéro 27… pour des raisons nébuleuses. Est-ce à cause de ce supposé épisode de désintoxication? Si ce moment est réel et qu’il a réussi tout ça avec succès, pourquoi continuer de s’acharner dessus?

Puis, mine de rien, celui que Claude Julien ne voit pas dans sa soupe figure au premier rang des compteurs sélectionnés lors de sa cuvée (en 2012).

Chucky a 207 points en 347 joutes. Filip Forsberg, le meilleur joueur issu de cette année 2012 (selon moi), en a récolté 204… en 275 matchs. C’est vrai que s’il avait joué autant de rencontres que Galchenyuk au moment de composer ce texte, il se retrouverait au sommet de cette catégorie.

Mais… malgré cela. Julien ne l’utilise pas, il continue et continue de le mettre dans le « coin », en punition. Cette punition a toutefois assez duré. On entend de bonnes choses au sujet du jeune homme pourquoi ne pas le récompenser? Et ne venez pas me dire que jouer avec Tomas Plekanec quelques présences est réellement une récompense…

Bref, cette histoire me titille vraiment.

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