Juraj Slafkovsky n’est pas juste « populaire » en Slovaquie : il est une méga célébrité

À Montréal, on adore Juraj Slafkovsky.

Son sourire contagieux, sa bonne humeur et son charisme font en sorte qu’il est populaire en ville, surtout avec la saison qu’il vient de connaître.

Slaf est célèbre à Montréal, mais en Slovaquie, c’est encore plus intense. Genre, vraiment plus intense.

Le journaliste slovaque, Štefan Bugan, a partagé un texte d’une journaliste tchèque… Et dans le texte en question, Darina Vymetalikova avoue qu’elle est surprise de voir à quel point Slaf est populaire dans son pays.

Elle le qualifie de « méga » célébrité… Parce que les journalistes là-bas l’adorent et veulent tout le temps lui parler, contrairement à d’autres joueurs.

Elle soutient que même David Pastrnak n’est pas autant célèbre dans son pays en Tchéquie, lui qui est l’un des meilleurs joueurs sur la planète.

Ça en dit beaucoup :

Même David Pastrnak n’a pas une telle position en Tchéquie. Peut-être que Jagr l’avait. – Darina Vymetalikova

Il ne faut pas que ça lui monte à la tête… Mais Juraj Slafkovsky n’a pas une personnalité comme ça.

Il est humble et il est déjà très mature à son âge. C’est une bonne chose. 

Slaf était justement en action aujourd’hui, alors que la Slovaquie affrontait l’Allemagne au Championnat du monde.

Le joueur qui appartient au Canadien a terminé le match avec une récolte de deux mentions d’aide, un différentiel de +2 et six tirs au but en un peu plus de 20 minutes de jeu…

Et il a encore fait parler de lui en raison de son amour pour les arbitres.

Juraj s’est fait décerner une punition et disons qu’il n’était pas content envers les hommes zébrés :

Sacré Slaf. 

C’est fou à quel point il joue avec passion, honnêtement. Il devra toutefois apprendre à se calmer, parce qu’il ne pourra pas tout le temps péter une coche après les arbitres quand il est fâché.

Notons que sa performance lui a permis d’être nommé joueur du match du côté des Slovaques… Mais il n’avait pas l’air content plus qu’il le faut.

On sait qu’il déteste perdre, et ça paraît :

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