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Joshua Roy : l’expérience à Montréal meilleure qu’une course aux séries à Laval, selon le club

Le titre du texte ci-dessous de TVA Sports en est un très bon : Joshua Roy est un beau problème.

C’est vrai qu’il est un beau problème, parce que même si sa place est à Montréal, autant cette année que l’an prochain, on a raison de se demander si de l’expérience dans une course aux séries à Laval est mieux que de l’expérience à Montréal, dans une saison à l’eau.

Kent Hughes s’est prononcé sur le sujet plus tôt aujourd’hui et semble considérer que la meilleure expérience pour son attaquant, c’est en haut, à Montréal.

Les dirigeants ont évalué toutes les possibilités et s’ils le voulaient à Laval, il y serait en ce moment. Mais là, Roy joue tellement bien dans la meilleure ligue au monde que c’est difficile de l’envoyer en bas, même si ce ne serait pas nécessairement une conséquence.

Notons que Jayden Struble et le Québécois sont éligibles à retourner en bas en vue des séries éliminatoires. Mais comme ça va là, le Rocket est très loin d’être qualifié pour le tournoi printanier. Ça va prendre des victoires et Roy n’aurait certainement pas nui.

En 2024-2025, la place de Roy est au Québec, à Montréal. Pourrait-il percer le top-6 et jouer avec Alex Newhook et Kirby Dach, genre? Je lui souhaite. En tout cas, il pourrait éclore, lui qui a un immense talent.

Dans son segment La Mise en échec, Renaud Lavoie parle même de Roy comme un joueur de première ronde. L’informateur dit que s’il avait joué à son plein potentiel l’année de son repêchage, il aurait pu facilement être sélectionné en première ronde, au minimum, la deuxième ronde. Ce n’est pas peu dire pour celui qui a été sélectionné 150e au repêchage de 2021. 

Il pourrait s’avérer tout un vol, celui-là. En 22 matchs, il a neuf points, dont quatre buts. Mais en dehors de la feuille de match, il joue du hockey inspiré et il est rarement perdu ou hors position sur la patinoire.

Bref, non, il n’est pas mieux servi à Laval qu’à Montréal, malgré la différence d’intensité entre les rencontres. Sous les ordres de Jean-François Houle, il aurait pu aider les autres espoirs (Kent Hughes a nommé le nom de David Reinbacher), mais à Montréal, il est à sa place et une expérience LNH est à mes yeux plus forte que n’importe quelle autre expérience.

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