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Hockey Canada ne parle parfois qu’aux médias qui sont des diffuseurs officiels

Comme vous le savez, ça ne va pas très bien chez Hockey Canada hors de la glace. Les nombreux scandales qui affligent l’institution ne sont pas exactement bons pour l’image du sport au pays.

Cela explique notamment les petites foules au Championnat mondial junior, qui a lieu à Edmonton, et ce, même si ça va assez bien sur la glace.

On pourrait être porté à penser qu’Hockey Canada est en quête de rédemption et que les dirigeants vont tout tenter pour bien paraître – à défaut de bien agir, ce qui est, comme on dit, la base.

Mais visiblement, la réponse est non.

En lisant un texte du journaliste Kevin Dubé, qui travaille pour Québecor, j’ai retenu un moment en particulier. C’est celui où il cite souvent RDS, un compétiteur direct, pour les citations des gars.

Pourtant, Kevin Dubé, il est sur place.

Pourquoi a-t-il besoin de citer un compétiteur? La réponse, c’est parce qu’il ne travaille pas pour un diffuseur officiel et qu’hier, lors d’une journée de congé, seuls les diffuseurs officiels avaient accès aux entrevues.

Et le journaliste, à juste titre, n’est pas exactement un client satisfait. Ça se sent dans son texte.

D’ailleurs, si on cite RDS dans ce texte, c’est que Hockey Canada n’a rendu personne disponible aux médias, mardi, sauf aux diffuseurs officiels de la compétition.

Comme quoi la transparence est visiblement un concept à géométrie variable, chez Hockey Canada. – Kevin Dubé

Évidemment, quand tu es un diffuseur officiel, il y a des choses que tu peux et que tu ne peux pas dire. D’ouvrir la porte à seulement certains journalistes n’est pas exactement éthique, on va se le dire.

Disons que dans un tel scénario, Hockey Canada ne fait rien pour s’aider. Être imputable de ses gestes pour une organisation autant dans le trouble que Hockey Canada, il me semble que c’est la base, non?

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