betgrw

Funérailles de Guy Lafleur : Cole Caufield a serré la main de Dominique Ducharme (avec le sourire)

Quand les joueurs du Canadien se sont pointés en grand nombre aux funérailles de Guy Lafleur, on espérait tous qu’ils puissent apprendre de la riche histoire du Canadien en étant présents.

Mais dans le cas de Cole Caufield, il semble que l’héritage de Guy Lafleur soit déjà un peu en lui. Là-dessus, on doit remercier son père pour lui avoir appris, dès son plus jeune âge, qui était le Démon blond.

Mais clairement, à la base, Caufield est un jeune qui apprend rapidement comment bien se comporter. Il n’est pas un candidat aux controverses, lui qui est plutôt du genre à signer des autographes aux fans (comme lors du dernier match sur la glace quand il est le seul qui a signé les chandails de toute l’équipe) ou à vouloir parler français.

Je pense ici à « bonne nuit Tampa », notamment.

Mais il est aussi le genre de gars qui, malgré son jeune âge, peut passer à autre chose. Je pense ici à un événement qui a eu lieu lors des funérailles nationales de Guy Lafleur.

Le #22 a rencontré Dominique Ducharme et les photos qu’on voit du moment laissent croire que ça s’est très bien passé.

Évidemment, on sait que sous Ducharme, Caufield n’a pas été très bon cette année. Ceci dit, il est clair que maintenant, on l’identifie plus au gars qui a marqué 22 fois en 37 matchs sous Martin St-Louis et que son début de saison est loin derrière nous.

S’il avait été marabout devant son ancien entraîneur, cela aurait mal paru… mais c’est tout à son honneur d’avoir agi de la sorte. J’espère qu’il n’est pas le seul à l’avoir fait chez le CH (Carey Price serait du lot) puisque des histoires de chicane avec l’entraîneur à la Lafleur/Lemaire ou Roy/Tremblay, ça ne doit pas traîner dans le temps.

Je ne pense pas que cela aurait été aussi friendly avec Jeff Petry, mais ce dernier a réglé le problème en choisissant de ne pas se présenter à la cérémonie pour se souvenir du #10.

Cela n’a sans doute pas été facile pour Dominique Ducharme d’être présent sur place moins de trois mois après son congédiement, mais c’est tout à son honneur de s’être pointé quand même.

PLUS DE NOUVELLES