Le décrochage scolaire est encore un problème important, au Canada. Au Québec, la situation est pire alors que seulement 64% des jeunes qui fréquentent une école publique graduent dans le délai requis, selon ce que rapporte Le Devoir. Aucune autre province canadienne ne se rapproche de ce chiffre décevant.
Il est donc important de continuer à financer le système scolaire et ses programmes spécifiques qui visent à freiner ce fléau.
Certains organismes s’impliquent d’ailleurs dans cette cause, dont la Maison Adhémar-Dion. Le mois prochain, elle s’associera avec la Fondation des amis d’Ulysse pour lancer le Challenge Dany Dubé, un tournoi de hockey balle scolaire dont l’enjeu est important. Cinq bourses d’une valeur de 1000$ seront remises aux écoles, afin que des initiatives contre le décrochage scolaire soient développées. Des bourses de 500$ sont aussi offertes à chaque école finaliste.
Phillip Danault a lui aussi décidé de s’impliquer dans cette cause afin d’attirer les regards vers cet évènement. Le Défi Phillip Danault sera introduit afin que les enfants puissent se mesurer à ses habiletés avec l’aide d’une vidéo interactive. Intéressant pour des jeunes de recevoir des conseils d’un joueur de la LNH et de pouvoir se mesurer à son temps.
Nous sommes sont heureux d’annoncer la participation de @phildanault, joueur des @CanadiensMTL au Challenge Dany Dubé présenté par La Petite Bretonne. Les élèves participant auront l’occasion de se mesurer aux habiletés du joueur québécois via une vidéo interactive. #LNH pic.twitter.com/beHf4pqS1y
— Maison Adhémar-Dion (@MaisonAdhemar) April 11, 2019
Dany Dubé ne savait pas s’il pourrait y être, puisque ça dépendait de l’horaire du Canadien de Montréal. Avec leur élimination, sa présence est confirmée.
L’analyste du 98,5 FM souhaite d’ailleurs que ce tournoi caritatif devienne une tradition annuelle.
«Je n’étais pas un étudiant de premier plan et je n’étais pas très motivé par l’école. C’est le sport qui m’a gardé motivé. C’est en quelque sorte un retour d’ascenseur».
– Dany Dubé en entrevue avec La Revue