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Arpon Basu croit que Marc Bergevin doit revenir à Montréal en 2020-2021

Le DG du Canadien est présentement sous la loupe de bien des amateurs. Alors que bien des gens réclament sa tête en raison de la (plus que) probable troisième saison du CH sans séries (et quatrième en cinq ans), il est clair que le grand manitou de l’équipe sent la pression de la part des amateurs.

Sur son avenir à la direction du Canadien, il y a deux écoles de pensée. Il y a évidemment ceux qui croient qu’il n’est pas l’homme pour amener le Canadien au prochain niveau, mais il y a aussi ceux qui sont d’avis qu’il doit rester en poste afin de compléter ce qu’il a commencé.

Parmi ces gens, on note Arpon Basu, journaliste émérite pour le compte de The Athletic. C’est ce qu’il a affirmé aujourd’hui dans le cadre d’une période de questions.

Pourquoi? Parce qu’il doit finir ce qu’il a commencé.

À ses yeux, il a réussi à en faire assez pour se mériter une autre chance. On peut présumer qu’il parle de ses transactions, mais ce n’est pas spécifié.

Il a aussi ajouté ceci.

Voici ce que j’en pense. Quand Bergevin n’a pas été congédié après la saison 2017-2018, il a présenté un plan à Geoff Molson qui était largement basé sur les choix au repêchage et sur le fait qu’il y aurait bien des embûches le temps que les choix se développent. Molson a dit OK.

Nous en sommes là. Je ne sais pas si c’est comme ça que c’est arrivé, mais ça me semble logique. – Basu

Il a aussi affirmé aimer voir le grand manitou de l’équipe prioriser le repêchage, ce qui se veut une donnée importante pour lui.

S’il est vrai que le Canadien a une vision basée sur les choix (c’est assez clair, en fait), cela pourrait ne pas fonctionner. Après tout, l’historique de repêchage du Canadien n’est pas… incroyable, disons.

D’ailleurs, à ce sujet, Barry Trotz ne croit pas en la valeur des choix. Pour lui, ça ne vaut pas un joueur, tout simplement.

Évidemment, l’entraîneur des Islanders ne parlait pas de la situation du Canadien, mais cela s’applique quand même : il est difficile de s’entendre sur la valeur de la stratégie de Marc Bergevin.

Force est d’admettre qu’il met quand même les chances de son côté en accumulant les choix et en ne faisant pas les choses à moitié.

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