Depuis qu’il est à Montréal, Paul Byron est un favori de la foule. Acquis pour absolument rien, il a eu de très belles saisons.
Malheureusement, sa carrière de hockeyeur a pris fin un peu difficilement à cause des blessures, mais il continue tout de même de s’impliquer avec l’équipe. Depuis qu’il a accroché ses patins, il est consultant au développement des joueurs.
L’an dernier, il a travaillé de très près avec Owen Beck, Emil Heineman, Jan Mysak (Anaheim) et Filip Mesar. Il a également regardé des matchs d’Oliver Kapanen, Blake Biondi et Cédrick Guindon. Il était donc très impliqué avec les jeunes et c’est pour cette raison qu’il y a quelques mois, Anthony Marcotte avait soulevé la possibilité de le voir derrière le banc du Rocket.
Qu’en pense le principal intéressé?
Il n’est pas intéressé pour l’instant. C’est ce qu’il a affirmé au journaliste Jean-Philippe Arcand du journal La Presse.
Poste d’adjoint chez le Rocket | Paul Byron n’est pas intéressé https://t.co/WKOgOuTy4m
— La Presse Sports (@LaPresse_Sports) June 4, 2024
Tout le personnel d’entraîneurs du Rocket, sauf un, reviendra derrière le banc l’an prochain.
C’est Kelly Buchberger qui a quitté le navire pour aller piloter une équipe de la ligue junior de l’Alberta. Byron aurait été un candidat de choix pour le remplacer, mais pour le moment, il aime mieux être l’entraîneur-chef de son fils dans le hockey mineur.
Pour le moment, il n’est pas prêt à prendre un emploi qui demande autant de temps.
C’est un travail à temps plein. Encore plus que lorsqu’on joue. On passe tellement de temps à l’aréna à faire du vidéo, à préparer les entraînements et les matchs, à voyager… C’est simplement une chose pour laquelle je ne suis pas prêt dans ma vie en ce moment. – Paul Byron
L’ancien attaquant de l’équipe n’a pas fermé la porte, mais disons qu’à court terme, on peut l’oublier dans ce rôle. Peut-être qu’à l’échéance du contrat de Jean-François Houle, il aimerait devenir l’entraîneur en chef…
Pour l’instant, il aime ce qu’il fait et veut continuer d’aider l’équipe à sa façon, soit en épaulant les espoirs de la formation.