betgrw

Eller blâme tout le monde, sauf lui | Des « non-qualifiés » intrigants | Barrie et l’Avalanche négocient | En rafale

Lars Eller blâme tout le monde, sauf lui

Maintenant la propriété des Capitals de Washington, le Danois Lars Eller y est allé de quelques flèches à l’endroit de son ancienne équipe, les Canadiens de Montréal. Eller a d’abord affirmé que ce serait bien de jouer au sein d’une équipe gagnante où il pourrait profiter d’une stabilité, enfin ! Il dit être celui qui se met le plus de pression sur les épaules et que sous les ordres de Michel Therrien particulièrement, il connaissait des difficultés parce qu’on le changeait de position constamment. En fait, Lars Eller pointe tout le monde du doigt pour expliquer ses problèmes offensifs, excepté lui-même… Un examen de conscience pourrait peut-être l’aider à accepter le fait qu’offensivement, il n’est pas le joueur qu’il croît être.

Des « non-qualifiés » intéressants

Les équipes avaient jusqu’à hier pour soumettre des offres qualificatives à leurs joueurs autonomes avec compensation. Si plusieurs athlètes ont bel et bien reçu leur proposition, d’autres n’ont pas été qualifiés et se retrouveront sans contrat en début juillet, à moins de parapher un pacte d’ici là. C’est notamment le cas de Joe Colborne, Brett Connolly et de Brandon Pirri, trois joueurs intéressants pour un DG qui recherche de la profondeur au sein de sa troisième unité d’attaque. À Anaheim et en Floride, Brandon Pirri a tout de même inscrit 35 filets à ses 98 derniers matchs, À Calgary, Colborne a touché la cible à 19 reprises et a récolté 44 points au cours de la dernière campagne tandis que Connolly, choisi au sixième échelon au total du repêchage de 2010 par le Lightning de Tampa Bay et transigé aux Bruins de Boston en retour de deux choix de deuxième tour, est un ailier de bon gabarit qui a récolté 25 points en 71 matchs avec Boston. Les trois vont assurément trouver preneur si leur formation actuelle ne veut plus de leurs services. Le cas Colborne est particulièrement intéressant et on peut soupçonner que les Flames tentent probablement d’en venir à une entente avec lui… À moins qu’il y ait des éléments de nature inconnue dans l’équation, comme l’attitude du joueur ou un événement est survenu et a fait chuter la valeur du joueur.

Des transactions qui n’ont rien donné

Dale Weise, Tomas Fleischmann, Devante Smith-Pelly, Lucas Lessio, Mike Brown, Christian Thomas, John Scott, Jarred Tinordi, Victor Bartley et Ben Scrivens ont tous des choses en commun : ils ont fait partie d’une transaction réalisée par le DG du CH, Marc Bergevin, et ils se retrouvent sans contrat actuellement, à la recherche d’une nouvelle équipe.

Tyson Barrie et l’Avalanche discutent

Le défenseur Tyson Barrie a fait l’objet d’une multitude de rumeurs de transaction au cours des dernières semaines, mais voilà que l’équipe détenant ses droits, l’Avalanche du Colorado, a changé de cap et a décidé que Barrie était dans les plans à long terme. Le défenseur et l’équipe l’ayant repêché au troisième tour (64e au total) à l’encan amateur de 2009 tentent présentement d’en venir à une entente à long terme. Un défenseur offensif de la trempe de Barrie ça ne court pas les rues et une équipe qui manque d’arrières de qualité comme c’est le cas au Colorado ne peut se permettre de laisser aller son quart arrière, un joueur tellement important au succès d’une équipe.

Un contrat de 3,9 millions $ par an pour Shaw : c’est justifié

Récemment acquis par les Canadiens de Montréal la semaine dernière, l’ailier (et centre) Andrew Shaw a fini par parapher son contrat avec les Canadiens : un pacte de six saisons assorti d’un salaire annuel de près de quatre millions $ (3,9 millions $). Si à première vue le montant et la durée peuvent sembler exagérés, surtout quand on constate que Brendan Gallagher a obtenu un salaire moins élevé pour une production offensive bien supérieure, il faut aussi tenir compte de l’âge, des performances, du passé du joueur et des comparatifs. À ce niveau, Shaw peut apporter plusieurs points en sa faveur au tableau : il n’a pas encore 25 ans, il a déjà inscrit 20 buts en une campagne, il compte deux bagues de la Coupe Stanley à son actif et c’est un joueur d’énergie qui se défonce à chaque présence. De plus, Andrew Shaw est de ceux qui augmentent considérablement leur production offensive une fois les séries éliminatoires débutées. Comme l’a déjà dit Marc Bergevin : « Il y a des joueurs qui vous mènent jusqu’en séries et d’autres qui vous aident à progresser dans les séries, » Andrew Shaw n’est pas celui qui vous remplira le filet pendant la saison régulière, mais il fait partie de la deuxième catégorie sans l’ombre d’un doute.

En rafale

Selon Mathias Brunet, les six joueurs autonomes sans compensation qui pourraient aider le CH sont : Steven Stamkos, Milan Lucic, Kyle Okposo, Loui Eriksson, Mikkel Boedker et… Teddy Purcell ? #MéchanteDrop

– David Perron est-il la meilleure cible disponible pour Bergevin ? (LIEN)

– Le prix à payer pour soumettre une offre de contrat hostile, ou si vous préférez, une « offer sheet » :

https://twitter.com/generalfanager/status/747761599516008448

– Qui seront les joueurs nouvellement admissibles et qui seront les élus au Temple de la renommée du hockey en 2017 ?

– Un bel hommage à Sidney Crosby

– Un pont nommé en l’honneur de Gordie Howe.

– Contrairement à certaines autres formations, les Predators de Nashville affectionnent les joueurs de la LHJMQ… #UneFoisNEstPasCoutume

– Un joueur conduit à l’hôpital après une balle fausse reçue au niveau de la tête.

– Un artilleur qui tente d’imiter Randy Johnson et qui passe bien près d’atteindre un oiseau avec un lancer.

PLUS DE NOUVELLES