betgrw

Développement des jeunes : Francis Bouillon et Rob Ramage satisfaits de l’aide qu’on leur a apporté

Adam Nicholas (directeur du développement hockey), Scott Pellerin (assistant au directeur du développement hockey), Marie-Philip Poulin (consultante), Nick Carrière (département de développement).

Ça, ce sont des noms qui se sont ajoutés au groupe de personnes qui étaient responsables du développement des jeunes joueurs de l’organisation du Canadien de Montréal. Et, ce groupe-là était constitué de Francis Bouillon et de Rob Ramage, avant que Kent Hughes et Jeff Gorton n’entrent en poste.

Ajoutons le nom de Mario Leblanc, ancien instructeur au service vidéo, qui aidera aidera également l’équipe dans le département du développement. 

« On était content parce que Rob et moi on était un peu partout. » – Francis Bouillon

Il y en avait de la job, pour ces deux personnes-là. Visiblement, les gars sont contents de voir que le DG et le VP des opérations hockey leur ont apporté de l’aide à ce niveau-là.

Ça change la donne. Ça rend le travail plus facile pour tout le monde, alors qu’un rôle spécifique est attribué à tous et chacun. Et c’est de cette façon-là que les kids vont continuer à s’améliorer.

Il y avait un « criant manque de soutien » comme on peut le lire dans le texte de The Athletic qui suit, signé par Arpon Basu et Marc-Antoine Godin. C’est probablement le meilleur terme pour expliquer l‘ancienne situation du Canadien :

On sait à quel point Kent Hughes et Jeff Gorton trouvent que le développement est un point important dans la LNH. Surtout lorsqu’on considère que le Canadien passe par une période de reconstruction au moment d’écrire ces lignes.

Rappelez-vous, cette journée où Gorton et Hughes avaient rencontré les médias au Centre Bell, suite à l’embauche de ce dernier. L’objectif était clair : on voulait axer notre énergie sur le développement des jeunes joueurs, pour ainsi bâtir un club gagnant dans les prochaines années.

Et, c’est exactement ce qui est en train de se produire en ville. Les résultats de cette année n’importent peu. Tant que les kids grandissent et continuent de s’améliorer de la meilleure façon qui soit, on en ressortira gagnant.

J’aime ça, voir qu’on accorde autant d’importance à l’aspect du développement. On tente de bâtir une culture gagnante à Montréal et c’est de cette façon-là que ça va se faire.

Le meilleur exemple que je peux donner est probablement en lien avec le premier choix au dernier repêchage, Juraj Slafkovsky. Les dirigeants savent qu’il sera excellent, mais on ne veut pas trop précipiter les choses dans son cas. S’il faut qu’il joue à Laval cette année, ben ce sera à Laval.

Il n’est plus question de jeter un jeune dans la gueule du loup (vous l’aurez compris, je parle notamment de Jesperi Kotkaniemi) et c’est parfait comme ça.

On se répète, mais… Patience, avec les jeunes. Ça, Kent Hughes et Jeff Gorton semblent en être bien conscients.

PLUS DE NOUVELLES