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Deux choix s’imposent à Peter Chiarelli pour « shaker » son équipe

Est-ce que Peter Chiarelli réussira à améliorer son équipe avec Jesse Puljujarvi? Le Finlandais ne s’est même pas taillé un poste avec les grands cette année. Puis, au sein de la Ligue américaine, il n’a récolté que trois petites mentions d’aide en sept joutes. Cette fusée finlandaise ne lève pas en Amérique et plus ça va, plus on comprend Jarmo Kekalainen de l’avoir ignoré au repêchage.

Pour amener un choc électrique à son groupe, Chiarelli doit-il l’inclure parmi ceux-ci? Ou tout simplement se servir de lui comme pièce principale dans une transaction? Beaucoup de ses homologues sont bien équipés afin de bien remplir leur devoir, donc ils sont au fait que Puljujarvi n’amène rien de bon à l’organisation en ce moment.

Patrik Laine, son compatriote, s’est tout de suite adapté au rythme de la Ligue nationale. Plusieurs analystes prédisaient que Puljujarvi allait sortir avant Laine lors de cet encan de 2016, mais ce ne fut pas le cas. Patrik Laine a été le deuxième choix au total en 2016 et depuis sa sélection, il a fait scintiller la lumière rouge à 40 reprises (en 83 matchs).

Pour revenir aux décevants Oilers, qui n’ont que trois gains en 10 matchs et 22 buts marqués, ils devront se ressaisir rapidement s’ils souhaitent accéder au bal du printemps. On disait que Connor McDavid était le meilleur joueur de la planète, mais en ce moment, où est-il? Il a tout de même 11 points en 10 matchs, mais disons que certains de ses coéquipiers tardent à reprendre là où ils ont laissé au printemps 2017.

Souhaitons que tout se replace dans l’ouest du Canada.

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