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Cinq choix potentiels pour l’avantage numérique du Canadien

Le Canadien de Montréal a conclu la campagne 2018-19 à la 30e position au chapitre du pourcentage de réussite en avantage numérique (13,2%). On parle de 31 buts en 234 opportunités, dont cinq en provenance de la palette de Shea Weber, ce qui n’est guère suffisant pour se tracer un chemin vers les grands honneurs. Comment le Tricolore parviendra-t-il à régler cette facette (avant l’arrivée d’un certain Cole Caufield)?

Des solutions qui ne coûtent pas beaucoup de cash pourraient-elles devenir la solution « temporaire » du bleu-blanc-rouge? Plusieurs exemples commencent à tomber devant la porte de Marc Bergevin et certains noms circulent à outrance. Voici les suggestions données par le site All Habs : à l’interne avec Nick Suzuki ou Jesperi Kotkaniemi. Une transaction incluant Jesse Puljujarvi. Un PTO au vétéran Jason Pominville. La signature du vétéran Justin Williams?

Dans le cas du Finlandais, un changement d’air sera certes salutaire, mais à quel prix? Un choix de 3e tour en plus d’un attaquant de soutien serait-ce suffisant pour acquérir ses services. Le Canadien est équipé pour conclure ce type de commerce et greffer un autre finlandais à son groupe. Le bémol dans ce cas-ci : Puljujarvi ne semble pas souhaiter demeurer au Canada, mais qui sait, son désir premier est de jouer au niveau de la LNH.

Offrir un essai professionnel à Jason Pominville serait-ce une solution temporaire? Il a certes les aptitudes pour enfiler l’aiguille sur l’attaque massive et jouer un rôle « précis » chez le Canadien, mais est-ce réellement le plan ciblé par Marc Bergevin? Pominville est ouvert à l’idée, mais à quel prix? Son agent parle d’une ouverture, mais le principal intéressé semble toujours souhaiter un retour chez les Sabres.

Sur le marché des agents libres, Justin Williams pourrait s’avérer un candidat de premier choix, surtout dans le but d’accéder aux séries éliminatoires. Par contre, tout semble clair dans son cas : c’est la Caroline ou la retraite.

Et si ce joueur tant recherché pour l’attaque à cinq devenait Nick Suzuki? Les chances demeurent peu nombreuses, mais il figure certes parmi la liste des candidats potentiels. Suzuki est-il réellement mûr pour la Ligue nationale? J’en doute fort. Il devra passer dans les mains de Joël Bouchard avant de s’amener dans les griffes de Claude Julien. À l’interne, il y a Jesperi Kotkaniemi, qui pourrait prendre du boulot supplémentaire avec le club lors de sa 2e année dans le circuit. Son sens du hockey et son vif lancer cadrent parfaitement pour « l’animation » d’un avantage numérique.

Vous, pour qui opteriez-vous?

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