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Carey Price est en mission et le rendement qu’il offre frôle la perfection

2, 2, 2, 1, 2… voici le nombre de buts accordés par Carey Price lors des matchs 2 à 6 face aux Golden Knights, après en avoir donné quatre lors du premier match.

Ça n’a juste aucun sens!

Choisissez votre expression : le gars est en mission, il était dans la tête des joueurs des Golden Knights, il est en transe, il est trop fort pour la ligue…

Juste son regard durant les hymnes nationaux voulait tout dire. #Mission

Ses célébrations d’après-match, la façon dont il entre sur la patinoire depuis quelques matchs, ses commentaires d’après-rencontre (time of his life)… on peut voir qu’il est vraiment dans sa zone.

Il avait demandé de l’aide à Marc Bergevin pour gagner tellement il voulait gagner… et il aura la chance de jouer pour la Coupe Stanley désormais. Dès que le Canadien parvient à marquer au moins deux buts, il remporte son match depuis le début des séries. Le calme de Price inspire tout le monde.

En playoffs, il est le gardien qui a signé le plus de victoires (12), il est celui qui affiche le meilleur pourcentage d’efficacité (.934) et il affiche aussi la deuxième meilleure moyenne de buts alloués (derrière Jack Campbell), soit 2,02.

Il a été encore meilleur lors des matchs d’élimination. #GOAT #UnGardienPresqueParfait

On savait tous que Carey Price était un excellent gardien de but. On se demandait tous – joueur de la LNH compris – s’il avait encore cette capacité de dominer autant sur la glace.

Il l’a et il le démontre présentement. Et je ne crois pas qu’il ait déjà été meilleur que présentement…

Tant qu’il gardera les buts de cette façon, il sera permis de rêver chers partisans. In Price We Trust.

Remporter la Coupe Stanley lui procurerait quasi automatiquement une place au Temple de la Renommée du hockey… et son numéro dans les hauteurs du Centre Bell? Une bague enlèverait tout doute possible, non? Et un trophée Conn-Smythe?

What a time to be alive.

Même Patrick Roy est impressionné par les prouesses du #31 présentement, en qui il voit certaines similitudes avec son travail de 1993.

Sans Price, le Canadien ne serait clairement pas où il se trouve présentement.

Par contre, il ne le serait sûrement pas sans Caufield, Suzuki, Perry, Danault, Lehkonen, Weber, Petry, Edmundson, Chiarot, etc.

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