À Montréal, tout le monde est rapidement tombé en amour avec Brendan Gallagher, un joueur fougueux, déterminé, passionné et débordant de caractère. Dès 2012, il s’est imposé et il est rapidement devenu un favori de la foule, grâce à son petit sourire taquin (qu’il livre aux adversaires). En 2012-13, il a récolté un total impressionnant de 28 points, dont 15 buts, en 44 joutes. Sa carrière était donc officiellement lancée et à partir de là, il n’a fait que s’imposer davantage, lui qui a atteint le plateau des 30 buts (ou plus) à deux reprises.
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Talked to Brendan Gallagher about getting picked 147th overall by the Habs 10 years ago tomorrow. Arguably the biggest steal of the 2010 draft, he's blossomed into one of the NHL's most reliable, effective players.https://t.co/6qvv6IYgDW pic.twitter.com/LHeCa8M4KJ
— John Matisz (@MatiszJohn) June 26, 2020
Le site The Score s’est d’ailleurs amusé en analysant la cuvée de 2010 dix ans plus tard et Gally s’impose réellement parmi ses homologues. À cette époque, il a été sélectionné au 147e rang (5e ronde) par le Canadien de Montréal et malgré qu’il soit sorti tardivement, il s’impose à travers les dix meilleurs de cette cuvée. Parmi les joueurs appelés lors de cette cuvée, Gallagher se classe 5e au niveau des buts (173), 10e au chapitre des points (334) et 10e concernant les matchs (547). Sans compter qu’il est l’un des leaders chez le Canadien de Montréal.
Depuis toujours, les fans des équipes adverses le huent parce qu’il est une petite peste qui adore foncer au filet, ce qu’il fait toujours au sein de plus grand circuit au monde. Il est détesté par l’ennemi, mais tellement aimé des siens, qu’on ne veut pas s’en départir.
Bref, c’était Brendan Gallagher dix ans plus tard…