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Bob Hartley a lancé un message très fort à St-Louis et Pezzetta

Sur l’heure du dîner, mon collègue Marc-Olivier Cook a déposé un billet rappelant l’importance de ramener Arber Xhekaj afin d’octroyer un petit repos à Justin Barron, qui en arrache dernièrement.

Ce call survient d’ailleurs à la suite de la mise en échec percutante de Stefan Noesen sur Juraj Slafkovsky, alors qu’aucun coéquipier n’est venu se porter à sa défense. Le seul joueur qui a essayé de braser un brin aussitôt la mise en échec complétée, c’est Cole Caufield. Est-ce normal que ce soit le plus petit joueur qui s’occupe de ça? NON!!!

Avec le Shérif en uniforme, les choses se seraient passées différemment, croyez-moi!

OK! En l’absence du numéro 72, il n’y a qu’un seul autre joueur qui peut venir se placer le museau dans le caca et c’est Michael Pezzetta. Le Pezz est loin d’être doté de la force du Shérif, mais il est capable d’en prendre et d’en donner. Il est capable de déranger et jouer du hockey à la limite de la légalité.

Bob Hartley s’est prononcé à ce sujet via BPM Sports et son message était très fort.

Le bon vieux Bob ne comprend vraiment pas pourquoi Pezzetta ne se retrouvait pas sur la glace à la suite de la mise en échec sur Slaf. Comme il a vivement souligné, le seul gars dans le line-up qui peut dropper les mitaines et brasser, c’est Pezz.

Hartley a même suggéré à Pezzetta d’arrêter de vouloir jouer au hockey et faire ce qu’il fait de mieux, soit de brasser et déranger les adversaires. C’est de cette façon qu’il s’est taillé un poste au sein de la LNH, il n’a qu’à revenir à son identité première.

Puis quand Pezz est retourné sur la glace quelques minutes plus tard, pourquoi n’a-t-il pas été brasser la soupe un brin? T’sais, pour lancer un message en vue du prochain match… Non. Rien. Nada.

Constat : rappelons le Shérif au plus sacrant!

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