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Andreas Athanasiou pourrait être sacrifié… pour accélérer la reconstruction?

Si vous me lisez, vous le savez. Je ne voue pas une grande reconnaissance au «plan» des Red Wings de Detroit, présentement. Malgré le départ de Pavel Datsyuk, de plusieurs autres joueurs impacts ainsi que du vieillissement imminent d’Henrik Zetterberg et Niklas Kronwall, l’organisation s’entête sans cesse en effectuant des signatures considérables améliorant le club et réduisant leurs chances d’obtenir de bons choix au repêchage.

Alors lorsque j’ai lu ça, j’ai été… Sous le choc.

Andreas Athanasiou pourrait être sur le marché des transactions. Jusque là, rien de choquant malgré le fait qu’il vient tout juste de signer une nouvelle entente (3 millions de dollars par saison pendant 2 ans) avec les Red Wings.

Mais lorsque Helene St. James explique pourquoi Ken Holland aimerait conclure une transaction impliquant le #72 que je perds mes mots.

«S’ils obtiennent une bonne offre – au moins un choix de deuxième tour ou un espoir prometteur, de préférence un défenseur – il pourrait être transféré pour aider à la reconstruction»

Pardon? Pour aider à la reconstruction?

Ok. Les contrats de Thomas Vanek, Mike Green et Jonathan Bernier, eux, ont-ils été signés dans le but d’aider le processus de reconstruction?

C’est à rien y comprendre. Je comprends qu’il faut vendre des sièges, mais il y a des limites à l’entêtement et à la contradiction. Les Wings font présentement mal au futur de l’équipe afin d’être certains de vendre des sièges.

En tout cas.

Comme il est mentionné plus haut, on espère obtenir un choix de deuxième tour ou un espoir, en retour d’Athanasiou, 23 ans, qui a inscrit 33 points en 71 matchs la saison dernière.

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