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Alex Chiasson met les pendules à l’heure au sujet de Jonathan Marchessault

Pendant les finales d’une coupe Stanley, ce n’est pas impossible de voir deux très bons amis s’affronter, et ce fut d’ailleurs le cas lors du dernier printemps. Alex Chiasson et Jonathan Marchessault demeuraient à cinq minutes en bicyclette l’un de l’autre, à Saint-Augustin-de-Desmaures, lorsqu’il était gamin. Depuis ce temps, ils sont évidemment comme deux doigts d’une main, même depuis leur parcours respectif dans le monde du hockey. L’un a choisi la LHJMQ (Marchessault) et l’autre, la NCAA (Chiasson). Leur rêve commun : soulever une coupe Stanley ensemble.

Alex Chiasson, les yeux fermés!

Mais…

Le destin n’a pas été cool avec eux puisque les deux hommes de 27 ans ont dansé en finale, mais évidemment, il était des adversaires. Les deux gars du Québec ont coupé leur amitié pendant cette finale. C’était certes une façon d’indiquer que sur la glace, il ne serait pas des amis. Et non pas qu’ils allaient couper les ponts même à l’extérieur de la surface glacée (pendant la finale). Une trêve de communication? Chiasson a tenu à mettre les pendules à l’heure.

Pourquoi j’aurais arrêté de lui parler ? Plusieurs ont parlé de moi et Jon, que ça allait affecter notre amitié, mais on est restés de meilleurs amis. On se côtoie le plus possible et notre amitié ne changera pas.

C’est clair maintenant, non?

Lors de cette finale où les deux clubs ont bataillé pendant cinq rencontres, Chiasson n’a participé à aucune joute… On a confiné le Québécois à un rôle de réservistes, lui qui était le 12e ou le 13e attaquant de l’équipe. Dans le cas de Marchessault, il devait être un acteur principal, à la suite de sa campagne magistrale de 75 points, mais il n’a récolté que trois mentions d’aide pendant son périple en finale.

Des propos, c’est facile à transformer, les deux hommes n’ont jamais arrêté de communiquer pendant ce chapitre.

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