À quel point l’aspect familial a aidé Bryan Bickell dans ses épreuves | En rafale

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Ne plus pouvoir exercer sa passion pour diverses raisons, par exemple la maladie, est certainement une des choses les plus difficiles à traverser, pour un athlète professionnel. Dans le cas de Bryan Bickell, c’est la sclérose en plaques qui est venue mettre en péril sa carrière de joueur de hockey. Elliotte Friedman, du réseau Sportsnet, nous offrait aujourd’hui un touchant témoignage de Bickell et ses proches dans un documentaire relatant la dure expérience que l’ancien des Blackhawks a dû endurer lors des dernières années.

https://twitter.com/FriedgeHNIC/status/840718798198079489

Les doutes et problèmes médicaux ont, en effet, débuté vers la mi-saison 2015-2016, alors que l’ex-champion de la Coupe Stanley commence à recevoir de nombreux traitements contre le vertigo. Par la suite, on a cru que ces symptômes étaient reliés à une commotion cérébrale, et ça avait du sens : l’attaquant de 31 ans avait toujours été reconnu comme un joueur robuste, et cette soirée-là, après s’être fait infliger un KO, il s’était évanoui dans le vestiaire, incapable de respirer. Il rata ensuite le reste des séries éliminatoires et la saison suivante, la production de l’ailier droit chuta drastiquement.

Évoluant majoritairement dans la AHL, loin de sa famille, le robuste attaquant de 6 pieds 4 finit par se faire échanger aux Hurricanes de la Caroline, lors de la saison morte, les Blackhawks sacrifiant Teuvo Teravainen dans le but de se débarrasser du contrat désormais handicapant de Bickell.

À ce moment-là, les sensations et symptômes qu’il ressentait n’étaient toujours pas diagnostiqués et le Dr. Josh Bloom lui proposa de passer une IRM à son arrivée en Caroline.

Le lendemain, celui-ci l’attendait à son bureau et Bickell sût par son langage corporel que quelque chose n’allait pas. Il reçut ensuite son diagnostic, marquant le début d’une longue et dure épreuve familiale.

Parce que dans une situation où ton corps peut redevenir complètement fonctionnel, ou à l’inverse devenir paralysé, le support de l’entourage est extrêmement important.

Présentement, Bickell évolue avec les Checkers de Charlotte, et ses yeux sont rivés sur un seul objectif : revenir dans la LNH et reprendre là où il l’avait laissé avant que ses problèmes médicaux ne viennent lui causer des ennuis.

En rafale
– Henrik Lundqvist sera absent pour une période de 2 à 3 semaines, mais les Rangers devraient survivre.

– Vraiment solide, le kid!

– Ça pourrait faire mal à une équipe qui en arrache déjà dans la course aux séries.

– Kucherov, lui, continue d’être exceptionnel sur l’avantage numérique.