Marc Bergevin a gagné un round face à Ken Holland… gagnera-t-il le suivant? | L’affiche de Tomas Plekanec a disparu? | En rafale

• Partagez

Helene St.James est-elle en amour avec Thomas Vanek ou quoi?

La journaliste du Detroit Free Press décortique tout le passé de Radulov, elle étale les statistiques des deux joueurs (Radu et Vanek) et elle met également en avant plan les deux contrats que les joueurs ont paraphés le 1er juillet dernier.

Les Wings avaient les yeux sur Radu puisque son gabarit et sa passion auraient été des atouts très intéressants pour leur groupe, mais puisqu’il s’est tourné vers le Canadien, Ken Holland y est allé avec son plan B, Thomas Vanek.

Radu a un passé douteux puisqu’il a collectionné les frasques : il a quitté les Predators subitement en 2008 afin de rejoindre la KHL. En 2012, avec la formation de UFA, il a sauté un plomb en garrochant son bâton vers l’arrière du banc pour finalement assommer l’entraîneur des gardiens. En mars 2012, il est retourné à Nashville faire la fête avec les Kostitsyn et il a été suspendu pour violation de couvre-feu… et les Preds l’ont ensuite laissé aller.

Tout ça est vrai et tout ça est du passé. Aujourd’hui, dans le présent, Radulov est un conjoint et un papa qui tente de devenir exemplaire. La courbe de sa carrière est plutôt ascendante que descendante, alors que c’est l’inverse pour Thomas Vanek.

Les statistiques passées des deux joueurs sont remises à zéro, si l’on veut, puisqu’ils ont obtenu un nouveau départ au sein de la Ligue nationale en empochant chacun un contrat de dernière chance au sein de la Ligue nationale.

Thomas Vanek : 

Alexander Radulov :

Vanek était jadis un poison devant les cages adverses, il affiche des statistiques reluisantes entre 2005 et 2013, mais sa nonchalance, sa paresse, son attitude et son caractère mou ont fini par couvrir tout ça afin de prendre le dessus sur juste le talent.

De l’autre côté, Radulov a un coffre rempli de points d’interrogation qu’il dit réglé… et contrairement à Vanek, son talent n’est pas voilé par toutes ces lacunes de paresse. Radu débarque comme un Kovalev à Montréal. Il a de l’étoffe, il est passionné, il compétitionne, il a du caractère, il est dynamique et il veut parapher ABSOLUMENT un contrat à long terme la saison prochaine.

Vanek a 32 ans et il a signé un contrat d’un an à 2.6 millions $, c’est vrai que le risque est minime.

Radu a 30 ans et il a paraphé un pacte d’un an à 2.75 millions $ en plus d’un boni de 3 millions $, c’est aussi un petit risque.

Le risque est-il vraiment plus élevé du côté du Canadien? Non. Parce qu’avec les ajouts de Weber et Muller, Radulov sera bien encadré et il offrira fort probablement le Radulov de talent au Canadien.

Oui, je suis de ceux qui croient en Radulov parce que je crois au présent et je crois sincèrement qu’il offrira le meilleur Radulov au Canadien et au peuple québécois. Bienvenue à Montréal, Radu!

En rafale
– L’affiche de Lars Eller a disparu, mais celle de Tomas Plekanec aussi?

Ça ne veut probablement pas rien dire, mais bon…

– Il y a toujours un dossier chaud chaque été au Colorado… Cet été, c’est le dossier de Tyson Barrie qui est chaud.

– Il y avait de gros noms sur la patinoire de Brossard, ce matin.

https://twitter.com/CHatzitoliosMTL/status/750334120937525248

– Rappel : On n’a pas encore eu droit à une offre hostile d’un directeur général… en aura-t-on une un moment donné?

– Daniel Audette est content de côtoyer un gars rempli de vécu comme Francis Bouillon lors du camp de développement.

Toujours au camp, Nikita Scherbak et Mikhail Sergachev sont déjà devenus de grands amis.

Et Zach Fucale a l’étoffe pour affronter d’autres obstacles.

– Tiens, tiens, ça me rappelle un article, ça…