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Zach Werenski signe une prolongation de contrat très lucrative à Columbus

Avec le départ de Seth Jones à Chicago, Zach Werenski est devenu l’homme de confiance des Blue Jackets de Columbus à la ligne bleue. Il était donc important pour eux de s’assurer des services de leur défenseur étoile pour une période à long terme, lui qui n’a qu’une seule saison à écouler à son présent contrat qui lui rapporte cinq millions de dollars par saison.

Et c’est exactement ce qu’ils ont fait.

Tard en soirée, l’équipe a annoncé avoir signé Werenski pour une prolongation de contrat de six ans, qui lui fera toucher en moyenne 9 583 333 $ annuellement. C’est beaucoup, beaucoup d’argent, on s’entend là-dessus. 

Werenski devient donc automatiquement l’un des dix défenseurs les mieux payés du circuit Bettman. En fait, lorsqu’il entrera en vigueur, son tout nouveau pacte le propulsera au troisième rang à ce chapitre, tout juste avant son ancien coéquipier Seth Jones.

L’Américain de 6 pieds 2 pouces et 220 livres a un flair offensif incroyable, comme en témoignent ses trois saisons de plus de 40 points à ses cinq premières années dans le grande ligue. Il est aussi fiable défensivement : il n’a jamais eu un différentiel négatif depuis le début de sa carrière, même s’il évolue à Columbus où c’est plus difficile depuis le départ d’Artemi Panarin.

C’est justement là-dessus que j’aimerais me pencher davantage.

On voit souvent que les Blue Jackets ont de la misère à garder leurs joueurs étoiles sur une longue période. C’est pour cette raison, selon moi, qu’ils se sont dit : « Tant pis, on va y donner tout l’argent du monde à Zach Werenski!  »

L’organisation peine à rester sur la bonne voie et les succès ne viennent pas nécessairement année après année. Ils ont fait une belle run en éliminant le Lightning il y a quelques saisons… Mais depuis ce temps-là, Seth Jones, Artemi Panarin, Matt Duchene, Nick Foligno, Ryan Dzingel, Sergei Bobrovsky (et j’en passe) sont partis rejoindre les rangs d’une autre équipe de la LNH.

Au moins, là ils vont pouvoir se dire qu’ils peuvent essayer de bâtir de quoi avec Werenski comme pièce maîtresse à la ligne bleue. Et honnêtement, ce n’est pas le pire moyen de partir une reconstruction. Malgré qu’ils ont quand même de beaux éléments en place et de bons jeunes qui poussent dans l’organigramme.

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