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Les pires directeurs généraux depuis 2000 | Québécor nie les infos de Jeff Fillion | En rafale

Les pires directeurs généraux depuis 2000

À l’occasion, The Sportster publie un palmarès fort divertissant qui vaut la peine qu’on en parle. Il y a quelques jours, le site y est allé d’un top-15 des pires directeurs généraux dans la LNH depuis 2000. Il faut d’abord savoir que des 30 DG actuels du circuit Bettman, 19 sont en poste avec leur équipe depuis 2013 seulement, ce qui indique qu’il y a un roulement de personnel impressionnant à ce chapitre.

15- Glen Sather (Rangers)

Maître à penser de la dynastie des Oilers d’Edmonton dans les années 80, Sather est débarqué dans la Grosse Pomme après que l’équipe eut remporté une première Coupe Stanley depuis l’époque néolithique. Après coup, les choses se sont moins bien passées. Il a utilisé le puits sans fond des Rangers pour donner trop d’argent à des Wade Redden, Chris Drury, Bobby Holik et Scott Gomez de ce monde.

14- Don Sweeney (Bruins)

Débarqué l’an dernier pour remplacer Peter Chiarelli, l’ancien joueur des Bruins n’a épaté personne jusqu’à maintenant. Il a échangé l’arrière Dougie Hamilton et n’a jamais pu le remplacer par la suite, laissant son équipe démunie à la ligne bleue. Il a laissé partir Milan Lucic pour offrir un montant identique à David Backes.

 

13- Chuck Fletcher (Wild)

Échanger une paire de choix de deuxième tour pour obtenir Matt Moulson et faire signer un contrat à Thomas Vanek pour ensuite le racheter ne sont pas des coups de maître de la part de Fletcher, pas plus qu’offrir un pacte trop cher payé à Jason Pominville.

12- Greg Sherman (Avalanche)

Sherman a surtout laissé sa marque au sein de l’organisation de l’Avalanche en affichant un palmarès épouvantable au niveau de ses choix au repêchage. Ses transactions n’ont pas souri à l’équipe non plus.

11- George McPhee (Capitals)

La transaction Martin Erat en retour de Filip Forsberg hantera McPhee pour toujours. Il n’a pas fait que des mauvais coups, mais échanger Jaromir Jagr pour obtenir Anson Carter tient pas mal de l’hérésie.

10- Dave Taylor (Kings)

Les Kings sont une puissance de la LNH depuis quelques années, mais ce n’est pas grâce à l’héritage de Taylor. Il a échangé le visage de sa concession, Rob Blake, à l’Avalanche du Colorado, là où il a soulevé la Coupe Stanley. Il a aussi donné Kimmo Timonen pour recevoir des peccadilles en retour et n’a pas obtenu beaucoup en retour d’Olli Jokinen, qui est devenu une vedette par la suite.

9- Darcy Regier (Sabres)

La fin de parcours de Regier, à Buffalo, a été atroce : il a opté pour laisser filer Daniel Brière et Chris Drury via le marché des joueurs autonomes sans rien obtenir en retour et il a offert des contrats monstres à Christian Ehrhoff et Ville Leino, un désastre.

8- Jay Feaster (Flames)

La manière dont il a géré l’offre hostile à Ryan O’Reilly mérite une bonne baffe, car si l’Avalanche n’avait pas égalé le montant offert par les Flames, O’Reilly aurait été placé de force au ballottage, le rendant disponible à toutes les équipes. Pendant ce temps, les Flames auraient quand même cédé des choix au repêchage à l’Avalanche. Échanger Jay Bouwmeester aux Blues pour obtenir si peu en retour n’a pas été un coup brillant non plus.

7- Darryl Sutter (Flames)

Décidément, les Flames sont bien représentés dans ce palmarès. Le résumé de Sutter avec Calgary, au poste de directeur général et non uniquement d’entraîneur, n’est pas couronné de succès. Le manque d’attrait pour Calgary chez les joueurs autonomes l’a forcé à poser des gestes désespérés. Il a transigé Dion Phaneuf pour à peu près rien alors que sa valeur était à son sommet et il a laissé partir Anton Stralman également en retour de pas grand chose.

6- Dave Nonnis (Canucks et Maple Leafs)

Nonnis n’a pas connu des séjours glorieux à la tête de ces deux organisations. Parmi ses plus mauvais coups, on note les signatures de Dion Phaneuf, Joffrey Lupul, David Clarkson et Tyler Bozak au bas de trop lucratifs contrats.

5- Brian Burke (Maple Leafs)

Après des passages couronnés de succès à Vancouver et Anaheim, Burke a perdu des plumes en débarquant à Toronto. Suffit de penser à la fameuse transaction Phil Kessel, qui a pris la route de Toronto alors que les choix au repêchage offerts en retour auront permis aux Bruins de mettre la main sur Dougie Hamilton et Tyler Seguin.

4- Paul Holmgren (Flyers)

Même si ce n’était pas ainsi qu’on percevait les choses sur le moment, Paul Holmgren a fait de bons coups en échangeant Jeff Carter et Mike Richards, procurant aux Flyers quelques bons éléments qui font encore partie du noyau de l’équipe. Par la suite, tout s’est mis à dégringoler : des contrats onéreux à Vincent Lecavalier, Chris Pronger et Ilya Brygalov et une transaction épouvantable où il a cédé James van Riemsdyk pour obtenir Luke Schenn.

3- Pierre Gauthier (Canadiens)

Par où commencer? Échanger le gardien de l’heure dans la LNH et obtenir en retour Lars Eller… Échanger un joueur, en l’occurrence Mike Cammalleri, au beau milieu d’un match et obtenir en retour l’ailier Rene Bourque. Limoger Jacques Martin pour nommer Randy Cunneyworth dans un marché francophone comme celui de Montréal… #Ayoye

 

2- Mike Gillis (Canucks)

L’épopée des gardiens de but Roberto Luongo et Cory Schneider, qui s’est soldée par le départ des deux cerbères. L’embauche de John Tortorella, un tas de premiers choix qui ont floppé, Steve Bernier, Michael Grabner et un premier choix en retour de Keith Ballard… Non, son carnet d’accomplissements n’a pas été reluisant.

1- Mike Milbury (Islanders)

À tout seigneur tout honneur, Mad Mike Milbury remporte haut la main le titre de pire directeur général dans la LNH au cours des dernières années. Alexei Yashin, signé au bas d’un contrat interminable, en retour de Zdeno Chara et de Jason Spezza. Les échanges de Wade Redden, Bryan Berard, Todd Bertuzzi, J.P. Dumont, Zigmund Palffy et Roberto Luongo, pour ne citer que ceux-là… Il a enseveli les Isles dans la médiocrité pendant de nombreuses saisons.

En rafale

– Tomas Plekanec dit ne pas avoir changé sa façon de jouer au niveau international, par rapport à son rendement dans l’uniforme du CH.

– Pour Mathias Brunet, c’est à Brendan Gallagher qu’on devait confier le C.

– Québécor n’a pas du tout apprécié les dires de Jeff Fillion selon lesquels, l’entreprise aurait eu l’occasion d’acheter les Coyotes de l’Arizona, mais que le prix était trop élevé.

– Comme s’il ne l’était pas déjà assez, Max Pacioretty est encore plus sous pression, avec les événements récents qu’on connaît.

– Bob Hartley ne croit pas un seul mot de l’histoire de Michel Villeneuve.

– Mike Babcock hausse le ton.

– Les partisans des Flames peuvent respirer, Sean Monahan sera remis à temps pour amorcer la saison.

– Direction Europe pour Ryan Wilson.

– Subban donne ses premiers coups de patin dans son nouvel uniforme.

– Le titre est à revoir…

Qu’importe, le nom est déjà sous le sceau d’un « Trademark ».

– Qui seront les gardiens d’office?

– Les Russes veulent-ils se venger?

– Josh Donaldson sera à nouveau absent ce soir… Ça sent pas bon ça.

– Un point de vue intéressant…

– On se questionne chez les Tchèques.

– Un ancien du CH qui prend des nouvelles…

– Jordan Nolan a retrouvé la forme!

– Que feront les Coyotes de l’Arizona?

– Adonis Stevenson essaie de redorer son blason.

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