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Max Pacioretty est-il le capitaine idéal?

Je suis tombé sur une histoire vraiment intéressante, aujourd’hui.

Celle-ci tourne autour du leadership, un attrait extrêmement important du sport. Plus précisément, on parle du livre ‘The Captain Class : The hidden force that creates the world’s greatest teams’. 

Ce livre a aidé les Jets de Winnipeg à se rendre où ils en sont, en ce moment. Pourquoi?

Après que l’équipe ait raté les séries éliminatoires pour deux années consécutives, le propriétaire de l’équipe, Mark Chipman, a convoqué les têtes d’affiche des Jets et du club-école dans son bureau, soit les deux entraîneurs (Paul Maurice et Pascal Vincent) et les deux capitaines (Blake Wheeler et Patrice Cormier).

Il a remis aux quatres hommes ce livre de Sam Walker afin qu’ils le lisent et qu’ils comprennent les bases du leadership, une notion extrêmement importante et bien maîtrisée par le propriétaire.

C’est ce qu’a appris Martin Leclerc, cet été.

Il a donc décidé de lire le livre en question pour en savoir plus derrière l’importance qu’il a eue dans la vie des personnes concernées, et selon ses dires, la perception du leadership change complètement, lorsqu’on le lit.

L’auteur a choisi 16 dynasties remarquables, parmi les 122 ayant existé (tout sports compris) et a décidé d’y faire des liens.

Le Canadien est la seule équipe de la LNH qui y figure, alors que l’édition de 1955 à 1960 s’est faufilée avec les meilleures.

Ce qu’il a remarqué?

Chaque période temporelle de succès des grandes équipes marque l’arrivée ou le départ d’un grand joueur, qui sera en grande majorité le capitaine de l’équipe.

Il a, à partir de ses données, conclut que le capitaine était la pièce la plus importante d’une équipe sportive, devançant même l’entraîneur.

« Le rôle du capitaine au sein d’une équipe se compare à celui d’un verbe dans une phrase. Le verbe ne sera pas nécessairement aussi mémorable que les noms ou aussi évocateur que les adjectifs, ou aussi expressif que la ponctuation. Mais c’est le verbe qui fait tout le travail, qui unit toutes les pièces disparates et qui crée un élan ».

Voici d’ailleurs les 16 points caractéristiques qui relient les capitaines en question.

Est-ce que ce livre a nécessairement changé quelque chose, chez les Jets? On ne sait pas.

Toutefois, Martin Leclerc est convaincu qu’il a alimenté plusieurs discussions, au sein de l’équipe, jugeant de la passion avec laquelle Pascal Vincent lui a raconté le contenu du livre.

Si jamais vous désirez vous procurer ce dernier, comme je vais probablement le faire sous peu, c’est par ici.

Il est intéressant de se demander si Max Pacioretty est le bon…

Et si les Oilers ont été trop pressés, en donnant le titre de capitaine à Connor McDavid.

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