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Une seule des huit meilleures équipes en saison dans le carré d’as en séries

Se monter un bon club pour la saison régulière est une chose. Mais se monter un bon club pour les séries éliminatoires, c’est une autre paire de manches, comme vous le savez.

Parlez-en aux Maple Leafs… mais aussi aux Golden Knights, aux Capitals et aux Jets de Connor Hellebuyck.

Dans les faits, ces quatre clubs-là ont fini dans le top-4 de la LNH en saison régulière, mais n’ont pas été capable de passer en troisième ronde, soit alors qu’il ne reste que quatre clubs.

On sait que ça fait des années que le champion de la saison régulière n’a pas gagné la Coupe Stanley et cette année, cela ne changera pas puisque les Jets sont éliminés.

Mais ça va plus loin que ça.

Outre les Stars, qui ont fini au cinquième rang du classement général en saison régulière, tous les clubs qui ont fini dans le top-8 sont sortis. Et même si les Kings, le Lightning et l’Avalanche ont un peu été victimes du format des séries, ça demeure tout un constat.

Marc Bergevin avait raison, finalement : une fois en séries, tout peut arriver.

(Crédit: Sportsnet)

Ce qu’on remarque, plus que jamais, c’est que les clubs qui avancent en séries sont ceux qui comprennent comment utiliser le système à leur avantage en saison, notamment.

Les Panthers et les Stars ont eu de gros morceaux sur la liste des blessés à long terme en saison. Cela a permis d’aller chercher Seth Jones et Mikko Rantanen, notamment.

Ça change la donne en séries parce que cela fait en sorte qu’il y a plus d’éléments sous la main des entraîneurs.

Les Oilers n’ont pas été les plus actifs en marge de la date limite des transactions (un gardien aurait peut-être facilité les choses), mais Evander Kane a passé la saison sur la LTIR.

 

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Mais surtout, il faut parler de l’impact du faible taux d’imposition en Caroline, en Floride, au Texas et en Alberta. Pas d’impôts provinciaux et de taxe provinciale en Alberta : c’est différent du reste du Canada.

Les joueurs sont forcément plus attirés que jamais par des marchés du genre.

Depuis des années, un des deux clubs de la Floride est en finale. Ce n’est pas un hasard… même si les clubs ne «dominent pas» systématiquement en saison régulière pour autant.

Mais les dirigeants de ces équipes-là jouent dans leurs forces et cela fonctionne, visiblement.

en rafale

– Beau but!

– André Tourigny donne de l’amour aux partisans de son équipe.

– Effectivement.

– Bo Horvat s’en va à Long Island pour se faire examiner par les médecins des Islanders.

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