Tobie Paquette-Bisson a refusé un contrat de la LNH pour revenir à Laval

Une équipe de la LAH, ça subit souvent de nombreux changements au fil du temps. Et c'est normal.

Chaque année, des vétérans changent de club (et parfois même de ligue), des jeunes graduent et des joueurs se font échanger par leur DG. Cela crée des mouvements de personnel.

Ça fait partie de la game.

Un DG de la LAH doit donc trouver le moyen d'aller chercher des vétérans cet été pour compenser le fait que plusieurs joueurs de l'édition 2024-2025 sont maintenant sous d'autres cieux.

C'est ce qui a été fait chez le Rocket en ramenant Tobie Paquette-Bisson à Laval.

Le vétéran a signé un contrat de la LAH seulement, mais il a confirmé à Anthony Marcotte et Anthony Desaulniers (BPM Sports) qu'il a refusé un contrat de la LNH à deux volets pour revenir à Laval.

Rappel : il n'est pas sous contrat avec le CH, mais bien juste avec le Rocket.

Âgé de 28 ans, il n'a jamais goûté à la LNH. Et l'an passé, il dit avoir trouvé ça difficile mentalement chez le Crunch de Syracuse, le club-école du Lightning qui est dirigé par Joël Bouchard.

Revenir à la maison pour un troisième séjour à Laval était logique pour lui, donc.

De refuser une offre de la LNH pour retourner à Laval démontre que parfois, la stabilité est importante pour un joueur. Il aimait mieux revenir à la maison dans un rôle stable que de tenter sa chance ailleurs.

Ça en dit long sur l'attrait du Rocket, qui joue dans un bel environnement et qui est bien dirigé.

Jouer à Montréal ou à Laval a bien des désavantages comparé à la Floride, mais dans des cas comme celui-ci, le Rocket a été en mesure de miser sur ses avantages pour attirer un vétéran qui va épauler les jeunes au sein du club-école.

Ça aide à la culture de l'organisation, ça.

en rafale

– Que font les Blackhawks?

– Le #13 s'entraîne comme ça :

– Wow.