Nous sommes le 1er septembre. Vous savez ce que cela veut dire?
Ça veut évidemment dire que Billie Joe Armstrong doit s'endormir. Je dis ça parce que s'il faut réveiller le chanteur quand le mois prendra fin, ça implique qu'il s'endorme au début du mois.
Non?
Mais pour Kent Hughes et le Canadien de Montréal, le 1er septembre signifie qu'un moment très important de la saison morte est arrivé : l'arrivée du boni de Carey Price.
Rappelons que Carey Price, qui a une empreinte de 10.5 M$ sur la masse salariale du Canadien jusqu'au 1er juillet 2026 (jusqu'à preuve du contraire), doit toucher 5.5 M$ aujourd'hui.
C'est quand même un bon montant qui va se déposer dans son compte, ça. Il va pouvoir, s'il en a envie, amener sa petite famille chez Pacini ce soir. #OnRegardePasÀDépense
Et par la suite, il lui restera seulement deux millions de dollars à toucher en argent réel – dont une partie par les assurances – d'ici 10 mois. C'est ce qui le rend échangeable, à partir de ce matin, à un club qui n'est pas proche du plafond salarial.
Kent Hughes, qui a sans aucun doute commencé à travailler le dossier depuis un bon moment, pourrait donc fêter la fête du Travail en dansant réalisant un grand coup : sortir (le contrat de) Price de Montréal.
Ça fait un bout qu'on en parle, mais ça devient de plus en plus concret : offrir un atout avec le contrat de Price à un autre club de la LNH, ça risque de se faire.
Parce que oui, on assume pas mal que ça va se faire sous peu. Le contraire serait une surprise de taille.
Les Sharks de San Jose sont à un contrat de la limite de 50 et ne se sont pas encore entendus avec Michael Misa.
Des joueurs AHL/ECHL pourraient ainsi être inclus dans un échange autour du contrat de Carey Price.
— Nicolas Cloutier (@NCloutierTVA) September 1, 2025
Rappelons que bien des gens ont parlé, cette semaine, des portes que le départ de Price – et surtout de son contrat – pourraient ouvrir. Le collègue Maxime Truman l'a fait mardi dernier, un peu avant tout le monde.
Parce que sans Price, le CH aura plus de lousse sur la masse, évidemment…