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Quand Jean Béliveau et Samuel Montembeault se retrouvent dans la même phrase

Depuis son arrivée chez le Canadien de Montréal, Samuel Montembeault est un favori des amateurs et il illumine régulièrement la vie des fans. Il a d’ailleurs reçu une carte de Noël spéciale (avec un poème) d’un partisan atteint du syndrome de Down (Jeremy) et de sa mère pour le remercier de toujours poser pour une photo.

Monty est évidemment le joueur favori de Jeremy puisqu’il prend toujours le temps de s’arrêter et de sortir de sa voiture pour prendre la pose avec celui-ci, selon les propos obtenus par Stu Cowan!

La mère de Jérémy a d’ailleurs été très élogieuse à l’égard du cerbère montréalais, le comparant même à Jean Béliveau en raison de sa gentillesse et d’une énergie similaire (calme).

«Chaque fois que j’ai accompagné Jeremy, Sam Montembeault s’est arrêté – 100 % du temps. Je veux appeler sa mère et la féliciter pour le jeune homme extraordinaire qu’il est. Je pense qu’il est comme Jean Béliveau, d’après ce que j’ai vécu avec lui. Son énergie est magnifique. Il est dans mon cœur. Il rend mon fils si heureux et cela me rend heureuse.» – Lindi Ross, la mère de Jeremy

Évidemment, à l’intérieur du poème, écrit par la maman de Jeremy, on retrouve la mention concernant Jean Béliveau.

«Dans le monde du hockey, que Sam continue d’avoir la poigne gagnante, que sa main gantée soit toujours rapide, et que le rondelle ne glisse jamais. Mais au-delà de la patinoire, là où les fans adorent, sa gentillesse et sa grâce, nous ne pouvons pas les ignorer, des autographes signés d’une main généreuse, une touche de classe, comme le grand Béliveau, Sam est si grand.»

Vous avez compris depuis l’amorce du texte : la comparaison n’a rien à voir avec le talent de chacun, mais bien de l’attitude généreuse de Sam et de celle que monsieur Béliveau offrait chaque jour.

Jeremy ne manque aucune rencontre du Tricolore à la télé et sa chambre porte les couleurs bleu-blanc-rouge du Canadien de Montréal, décorée également de plusieurs souvenirs de SON équipe.

Comment ne pas aimer ce type d’histoire après un 25 décembre?

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