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Peter Laviolette doit à son tour justifier son geste de violence

Après Mike Babcock, Bill Peters, Marc Crawford et Bob Hartley, voilà qu’un autre entraîneur est au coeur d’allégations d’agissements néfastes envers ses joueurs. On parle de Peter Laviolette.

Récemment, Ville Leino et Daniel Carcillo se sont levés afin de dénoncer les comportements de celui qui était jadis à la barre des Flyers de Philadelphie. Carcillo, qui était reconnu pour la robustesse de son jeu, s’est notamment exprimé sur le fait que l’entraîneur-chef lui demandait parfois de jeter les gants au cours d’un match.

Il n’est pas le premier coach à exiger quelque chose de tel de ses joueurs. Cela ne rend toutefois pas la situation plus acceptable.

La situation qui ressort toutefois le plus de l’ordinaire, c’est celle qui implique Ville Leino. De vieilles images de Laviolette qui frappe son joueur sur le casque sont ressorties après que Leino ait affirmé avoir été frappé.

« Peter était un entraîneur très passionné et émotif (…) mais cela ne devrait jamais survenir, » a soutenu l’ancien des Flyers.

Voilà d’ailleurs la séquence en question, où l’entraîneur frappe son joueur sur le casque. C’est très clair.

Évidemment, il s’est défendu.

Premièrement, on a suggéré que je me servais de mon poste à l’intérieur du vestiaire pour intimider des joueurs ou les mettre au défi d’aller se battre. Il n’y a rien de plus éloigné de la vérité que ça.

Est-ce que je souhaite voir mes équipes jouer avec force? Oui. Est-ce que je veux du jeu physique de leur part? Oui. Y a-t-il des combats pendant un match? Oui. Par contre, on a insinué que je demandais aux joueurs de se diriger sur la glace pour faire ceci et cela. Ce n’est pas vrai. – Laviolette

Pour ce qui est de l’incident du casque, il a affirmé qu’il avait l’intention de frapper la paume de sa main seulement, mais qu’il a atteint Leino.

Voyons voir ce que la ligue choisira de faire dans ce dossier.

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