Dans les dernières semaines, Mark Scheifele ne s’est pas fait d’amis au Québec. Le joueur des Jets de Winnipeg a frappé Jake Evans, oui, mais il y a plus que ça.
Ce qui a rendu le joueur détestable et son équipe haïssable, c’est le manque d’imputabilité. Les joueurs se victimisent et ne prennent pas leurs responsabilités lors d’actions du genre.
Hier, de le voir blâmer le département de sécurité des joueurs m’a fait sursauter. Il avait juste à ne pas patiner sur 200 pieds pour frapper Evans s’il voulait jouer.
Et il n’avait qu’à assumer.
Il a tiré sur le département de la sécurité des joueurs → https://t.co/coUzJ9HAr2
— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) June 9, 2021
Mais bon.
Plusieurs autres exemples nous viennent en tête quand on pense à la personne qu’est Scheifele. Les voici.
Certaines histoires veulent le contraire, mais croyez celle que vous voulez.
Laine aurait donc voulu prendre la poudre d’escampette le plus rapidement possible. Il a abouti à Columbus, où ça se passe mal.
Intimider un coéquipier, ça ne se fait pas pour plusieurs raisons évidentes, ce qu’on appelle la base. J’imagine que ça a divisé le vestiaire.
On peut aussi fouiller dans les boules à mites l’histoire où son ancien chef cuisiner l’a poursuivi. Le joueur ne payait pas son chef et le traitait mal.
Ajoutons son comportement à la culture d’entreprise qui règne à Winnipeg et on se dit que le joueur, qui n’est pas une extraordinaire personne à la base, ne semble pas se faire aider à progresser. Chapeau, les Jets.