Dossier Pascal Vincent : «attention aux Rangers»

La saison du Rocket de Laval est terminée.

D’ailleurs, à ce sujet, Pascal Vincent a dressé son bilan, ce matin. Et par la force des choses, le sujet de son départ potentiel (Marco Normandin a appris qu’on doit s’attendre à un retour dans la LNH en 2025-2026) est revenu sur la table.

Vous attendiez-vous à une autre réponse que la cassette, soit le fait de voir le Québécois dire qu’il retournera dans la LNH s’il y a un fit, mais que pour le moment, il se concentre sur la prochaine saison du Rocket? C’était la chose à dire #AucuneSurprise

On sait que le Lightning et les Islanders sont deux équipes qu’on surveille dans le dossier pour un poste d’adjoint dans son cas.

Après tout, les Islanders ont un entraîneur (Patrick Roy) qui n’a jamais eu peur de faire de la place aux entraîneurs d’ici. Et le nouveau DG, Mathieu Darche, a appris de Julien BriseBois, un autre dirigeant qui sait reconnaître la valeur du talent au Québec.

Et à Tampa Bay? Ce même Julien BriseBois aurait Vincent en haute estime. Et comme les rumeurs de séparation avec Jon Cooper existent à court ou moyen terme, préparer la suite en amenant Vincent dans l’organisation serait logique.

Mais est-ce que d’autres clubs pourraient être dans le lot? Selon Tony Marinaro, qui a abordé le sujet à TVA Sports avec JiC hier, il ne faut pas juste penser aux Islanders et au Lightning.

Attention aux Rangers. – Tony Marinaro

Ce que Tony mentionne, c’est que Mike Sullivan, qui vient d’être embauché à New York, et Pascal Vincent partagent le même agent : Neil Glasburg.

C’est un homme reconnu pour représenter de nombreux hommes de hockey. C’est notamment lui qui avait pris Patrick Roy sous son aile, pendant quelques mois, quand ce dernier cherchait à revenir dans la LNH.

Si Marinaro parle des Rangers, c’est que ça ne doit pas être complètement impossible. Sinon, il n’en aurait pas parlé puisque le lien n’est pas aussi «facile» à faire que pour Long Island ou Tampa Bay.

Mais ça se tient, quand on y pense. Et ce, même si Vincent dit se considérer comme un entraîneur-chef en premier et qu’il ne se cherche pas un poste à tout prix dans la Ligue nationale. Pour partir, ça lui prendrait une offre qu’il ne pourrait pas refuser.

Toujours dans la même chronique de TVA Sports, il a aussi été question du cas (maintenant impossible) de Vincent et des Penguins, qui ont officiellement embauché Dan Muse quelques heures après l’élimination du Rocket.

Jean-Charles Lajoie se demande s’il n’y a pas un lien avec les carences physiques du Rocket contre les Checkers de Charlotte et le fait que Vincent, qui sait que son club a mal paru physiquement, n’ait pas obtenu le poste laissé vacant par Mike Sullivan, justement.

La réflexion est intéressante. Après tout, le nom de Vincent a circulé en Pennsylvanie.

Et à ce sujet, notons qu’encore une fois ce matin, le dossier du jeu physique est revenu à l’avant-plan de la part de l’entraîneur-chef du Rocket de Laval, qui sait que ses troupes ont des croûtes à manger. Il en avait aussi parlé après le match #4 : il sait que son club n’est pas arrivé à maturité, physiquement parlant.

en rafale

– Assurément.

– Intéressant.

– Ironique.

– À suivre.

– En effet.

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