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Deux anciens du Canadien à Nashville ne vivent pas le même rêve

On peut l’oublier facilement, mais à la date limite des transactions, David Poile a fait l’acquisition d’un attaquant qui donne aux Predators une belle profondeur en cas de pépin : Pierre-Alexandre Parenteau.

Malheureusement pour l’attaquant québécois, c’est de la galerie de presse qu’il suit les prouesses de ses coéquipiers, lui qui a été en uniforme que pour deux rencontres depuis le début des séries. Sa dernière présence remonte au 26 avril, soit le premier match du duel face aux Blues. En fin de saison, une fois remis de ses blessures, il a obtenu une passe en huit parties.

L’ailier de 34 ans ronge donc son frein, lui qui continue d’être un bon coéquipier prêt à fouler la glace si on fait appel à ses services. Son capitaine, Mike Fisher, a d’ailleurs vanté son attitude auprès des médias, tout en ajoutant que lorsque Peter Laviolette fera appel à Parenteau, celui-ci saura contribuer positivement aux succès de l’équipe.

Mais comme il sera à la recherche d’un nouveau contrat cet été et qu’il désire poursuivre sa carrière dans la LNH, ce n’est pas en demeurant dans les estrades que Parenteau pourra mousser facilement sa candidature auprès des autres équipes du circuit Bettman.

« J’espère jouer le plus longtemps possible. Je suis encore en forme, j’ai encore le goût et la passion de jouer. Je veux gagner. C’est clair que de la façon dont les choses vont présentement, ça ne m’aide pas beaucoup, mais j’espère vraiment obtenir un contrat l’été prochain. Je veux jouer l’an prochain. » – Pierre-Alexandre Parenteau.

Au moins, depuis quelques jours, il a enfin la chance de ne plus vivre cette épreuve seul, vu que sa famille est venue le rejoindre à Nashville.

Donc P.K. Subban et P.A. Parenteau ne vivent pas ce parcours vers la Coupe Stanley de la même façon. L’un tripe et l’autre est frustré!



En rafale

– Les Blue Jackets doivent-ils envisager une transaction impliquant Jack Johnson?

– Marc-André Fleury devrait être le partant demain soir.

– Jeremy Roenick n’a pas la langue dans sa poche.

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