Les joueurs du Canadien ont goûté aux séries lors de la dernière saison.
Et… cela fait en sorte qu'en ce moment, le groupe est affamé.
Nick Suzuki n'a pas peur de l'admettre : il voit les choses d'un bon oeil et les attentes ne seront plus les mêmes.
En fait, le capitaine pousse la note encore plus loin.
Il a dit à Anthony Martineau (TVA Sports) qu'il a de grandes ambitions pour son groupe puisque le CH compte sur du talent dans la formation, des entraîneurs de qualité et un bon état-major :
J'ai de grandes attentes envers l'équipe […] Je crois qu'on peut aller loin cette saison. – Nick Suzuki
Les attentes de Nick Suzuki envers son équipe ET son trio son immenses.
Notre entrevue.
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) August 21, 2025
Pour que ça arrive, le Canadien devra connaître un bon début de saison.
Mais aux yeux du capitaine (RDS), il y a un élément qui peut aider le CH à accomplir cette mission-là : le fait d'avoir vu plusieurs joueurs s'entraîner ensemble à Brossard permet à Suzuki de penser que ça peut changer certaines choses.
Et il a raison, dans les faits.
Plusieurs gars ont passé l'été ensemble sur la patinoire du Complexe CN et ça aide à bâtir une certaine culture. On sait que les joueurs sont proches l'un de l'autre et ça se remarque aussi quand on en retrouve plusieurs en plein mois de juillet / août à Montréal.
Les joueurs du CH ce matin à Brossard : Matheson, Laine, Demidov, Evans, Newhook, Condotta, Carrier, Slafkovsky, les frères Xhekaj, Monty et Dobes.
Encore plusieurs gars sur la patinoire en plein été à Montréal. @DLCoulisses pic.twitter.com/AXjrXhYXZK
— Marc-Olivier Cook (@Cook_Marco) July 25, 2025
Les attentes vont changer, mais le Canadien a aussi mis la main sur des joueurs qui peuvent immédiatement aider.
Noah Dobson et Zachary Bolduc sont deux beaux ajouts à l'équipe selon le capitaine et il n'a pas hésité avant de les vanter lors de son entretien avec Anthony Martineau.
C'est excitant, tout ça. Autant pour les joueurs que pour l'organisation et les partisans.
On est loin des années où on avait peur du mot en « P », disons-le comme ça…