Macklin Celebrini est – clairement – le meilleur espoir en vue du prochain repêchage.
Le jeune homme a tout cassé à sa première saison dans la NCAA… Alors qu’il a récolté 64 points en 38 matchs à titre de « freshman ».
On parle d’un joueur complet, parce qu’il a amassé 32 buts et autant de passes cette saison.
Celebrini a côtoyé Lane Hutson cette saison à Boston University et il était à Montréal cette semaine.
Il n’était pas là pour visiter les installations du CH… Mais plutôt pour encourager son chum, qui disputait un premier match devant les partisans montréalais au Centre Bell :
Au total, il y avait 16 joueurs des Terriers dans une loge du Centre Bell. Macklin Celebrini, le futur premier de classe au repêchage de 2024, y était aussi. – Jean-François Chaumont
Il y avait une grosse délégation des Terriers de l’Université de Boston pour voir les débuts de Lane Hutson au Centre Bell.
Petite rencontre avec Mathieu Caron, le gardien des Terriers.
Il nous parle d’Hutson, mais aussi de Luke Tuch. https://t.co/epVKEYDjI2
— J-F Chaumont (@JFChaumontLNH) April 19, 2024
Comme l’a mentionné Jean-François Chaumont dans son article, pas moins de 16 joueurs de BU étaient à la partie mardi soir à Montréal pour supporter Lane Hutson.
Vous savez ce que ça veut dire?
Ça veut dire que Lane Hutson était un joueur très, très apprécié dans le vestiaire lorsqu’il jouait dans la NCAA.
Ses coéquipiers ont fait le voyage pour le supporter et c’est beau à voir. Macklin Celibrini a probablement d’autres chats à fouetter, parce qu’on est à deux mois du draft… Mais les gars étaient là pour lui à un moment important de sa carrière, et ça démontre à quel point Lane Hutson est un bon gars dans une chambre de hockey.
Il ne portait pas un « A » sur son chandail pour rien cette saison, après tout.
Si Lane Hutson peut avoir le même rôle à Montréal d’ici quelques années, tout le monde va être content.
On sait à quel point il est talentueux sur la patinoire… Mais de voir qu’il est d’un « gars des boys », ça doit faire sourire l’organisation montréalaise dans un sens.
Ça cadre avec la nouvelle culture qu’on essaie d’installer en ville, du moins.