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Les Rangers se préparent pour Connor McDavid avec leurs choix de première ronde
Marc-Olivier Cook
Les Rangers se préparent pour Connor McDavid avec leurs choix de première ronde

La situation de Connor McDavid fait jaser aux quatre coins de la Ligue nationale de hockey.

Il en sera à sa dernière année de contrat lors de la saison 25-26 et en ce moment, il y a de l'inquiétude à Edmonton face à tout ça. Le capitaine des Oilers a quand même dit la semaine passée que l'option « aucun terme » est sur la table, ce qui peut faire peur aux partisans et à l'organisation de l'Alberta.

Parce qu'on s'entend : s'il venait à quitter… ce serait une catastrophe.

Aux derniers dires, il y a même des clubs qui commencent à se préparer à l'éventualité de le voir partir.

Du lot? Selon Renaud Lavoie, les Rangers en font partie. À New York, on veut garder nos choix de première ronde si jamais McDavid devient disponible sur le marché.

McDavid dans la Grosse Pomme, ce serait… spécial. 

Voici ce qu'il faut savoir.

En ce moment, les Rangers ont deux choix de première ronde en 2026, un choix de première ronde en 2027 et un choix de première ronde en 2028. C'est moins profond quand on regarde les choix de deux, trois, et quatrième ronde de l'équipe… mais quand même.

Pour acquérir McDavid – si transaction il y a – ça va coûter cher. Et les Rangers veulent être prudents dans ce contexte-là parce que d'amener McDavid à New York, ce serait exceptionnel pour l'organisation et pour le marché là-bas.

(Crédit: Capture d'écran / PuckPedia )

Pas besoin de vous dire que ce dossier-là sera à surveiller dans les prochains mois. Et la suite des choses sera intéressante aussi : dans moins d'un an (1er juillet 2026), McDavid sera admissible à tester le marché des agents libres.

Si ça arrive, les clubs vont se bousculer pour ses services. Mais on sait c'est quoi l'objectif du #97 : gagner la Coupe Stanley pour la première fois de sa carrière.

Et en ce moment, à Edmonton, il semble être difficile de lui prouver qu'on a ce qu'il faut pour être connaître du succès à court – mais aussi à long terme.

Pour qu'il soit échangé à la date limite, par contre, il faudrait que ça aille vraiment mal chez les Oilers. Et jusqu'à preuve du contraire, rien ne dit que ce serait avec une prolongation de contrat en poche…