Les Penguins sont les seuls vrais vendeurs : Difficile de croire que Crosby est satisfait en ce moment

En regardant la situation de près, on réalise que c’est difficile à Pittsburgh. Et il y a plusieurs raisons qui expliquent ce facteur-là.

Les Penguins sont vieux et ils n’ont pas de profondeur au sein de l’alignement parce que plusieurs choix / espoirs ont été utilisés dans des transactions lors des dernières années pour que l’équipe demeure compétitive.

Et là, on sent que les beaux jours sont vraiment terminés là-bas. Ça fait déjà trois années de suite que le club manque les séries…

Mais ça va encore plus loin que ça aussi.

Il y a de l’incertitude au niveau de l’organisation parce qu’elle est à vendre.

À ce niveau-là, on a entendu des rumeurs voulant que Mario Lemieux serait intéressé à racheter les Penguins… mais on s’entend : sur la patinoire, ça ne changerait pas grand-chose à court terme.

Ah…

Et ça, c’est sans parler du fait que les Penguins sont « les seuls vrais vendeurs » de la LNH en ce moment. Selon Pierre LeBrun (TSN 1050), la majorité des équipes qui ont terminé dans les bas-fonds du classement général en 24-25 ne veulent pas vendre, mais plutôt s’améliorer.

Super. 

Vous comprendrez qu’ici, il y a des liens relativement faciles à faire avec la situation de Sidney Crosby.

Et je ne pense pas avoir besoin de faire un dessin pour que vous compreniez où je veux en venir. On en parle depuis déjà un certain temps…

Mais, dans les faits, il faut se demander comment le #87 se sent dans tout ça.

Son club ne s’en va nulle part, les Penguins ont un nouveau coach – qui n’a pas d’expérience comme entraîneur-chef dans la LNH – en Dan Muse, l’alignement papier de l’équipe n’est pas super impressionnant…

Il est difficile, somme toute, de penser que Crosby est super satisfait de ce qui se passe en ce moment là-bas.

Il a beau vouloir être loyal à l’organisation qui l’a repêché en 2005, mais quand même : à un certain moment donné, il doit commencer à penser à lui et ce qui est le meilleur pour la suite de sa carrière.

Parce qu’à 37 ans (38 au mois d’août), il ne lui reste plus énormément d’années dans le corps pour jouer dans la LNH.

Et s’il veut vraiment gagner, ou du moins se donner une dernière chance de soulever la Coupe Stanley… ce n’est pas à Pittsburgh que ça va se faire.

En rafale

– La transaction est maintenant officielle.

– À noter :

– Allez!

– Bonne lecture.

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