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Les distractions pourraient être la source de la saison plus difficile de Max Domi

Depuis le début de la saison, les gens cherchent des réponses aux questions concernant Max Domi. Le joueur de l’an passé, où donc est-il passé? Pourquoi n’est-il pas aussi constant?

Il est difficile de répondre à ces questions-là. Ultimement, c’est ce qui rend la situation plus difficile qu’elle ne l’est présentement puisque les partisans sont dans l’inconnu et ils cherchent des réponses.

Michel Bergeron, le Tigre de TVA Sports, cherche lui aussi des réponses. Selon lui, il est clair que Domi est affecté par plusieurs éléments.

Lesquels?

Premièrement, Domi est en fin de contrat. Il devra bientôt voir son entente contractuelle être renégociée et il ne s’est pas placé en position de force. Après une grosse saison, le voilà plus inconstant cette année, ce qui l’affecte mentalement, ce qui le rend plus inconstant et qui le rend forcément… vous avez compris, rendu là.

Marc Bergevin, qui ne veut pas négocier maintenant et qui préfère attendre afin d’avoir un meilleur portrait de la situation, est un autre exemple de distractions.

Il faut aussi considérer les aspects qui sont sous le contrôle de son entraîneur. Par exemple, le fait d’avoir été envoyé à l’aile semble avoir été un turn off quelconque à ses yeux. Le fait de ne pas systématiquement avoir de grosses minutes de jeu malgré de gros absents n’a pas aidé non plus.

Encore là, c’est une question de confiance et de distractions.

Je l’ai aimé l’an dernier. Mais on commence à dire que le Domi qu’on voit est celui qui jouait en Arizona. Finalement, c’est la raison pour laquelle on l’a échangé. – Bergeron

N’oublions pas non plus que les critiques par rapport à son éthique de travail remontent à la surface.

Dans quelle direction le Canadien ira-t-il, rendu là? L’échanger? Le signer à court terme? À long terme?

La bonne réponse absolue n’existe pas. Il faudra donc voir dans les prochains mois ce que Marc Bergevin fera de lui… et il n’est probablement pas le dossier prioritaire aux yeux du DG.

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