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Les Coyotes aussi, ont de la difficulté à «tanker»

Mon collègue Maxime Truman avait pondu un texte très intéressant, le 5 mars dernier, dans lequel il expliquait que le Canadien était tellement mauvais qu’il avait même de la difficulté à «perdre comme il faut», continuant d’amasser les points à la pelletée.

Rien n’a changé, depuis. Le Tricolore continue de forcer la tenue de temps supplémentaire trop souvent, et s’est assuré d’un point dans 8 de ses 10 dernières joutes.

Résultat? Les hommes de Claude Julien sont toujours au 27e rang, et s’ils continuent sur cette voie, ils rejoindront avant longtemps les Oilers, au 25e.

Par contre, le Canadien n’est pas la seule équipe qui a de la difficulté à «tanker» comme il se doit.

Les Coyotes, qui détenaient depuis longtemps un dernier rang qui semblait inaccessible, connaissent présentement une séquence assez impressionnante… Si bien qu’avec une victoire, ils se débarrasseront officiellement du 31e rang du circuit.

Pour le meilleur ou pour le pire. 

Les Yotes ont récolté 22 points sur une possibilité de 30, à leurs 15 dernières rencontres. Plus ils gagnent, moins ils ont de chance de repêcher Rasmus Dahlin. Ce qui n’est pas bon.

En prenant en compte le pourcentage de victoires de chaque équipe se «battant» pour le dernier rang, voici ce à quoi pourraient ressembler les bas-fonds, à la fin de la campagne.

25. Oilers d’Edmonton – 77 points – Up

26. Red Wings de Detroit – 76 points – Up

27. Canadiens de Montréal – 75 points – Up

28. Canucks de Vancouver – 70 points – Down

29. Sénateurs d’Ottawa – 70 points – Down

30. Sabres de Buffalo – 67 points – Up

31. Coyotes de l’Arizona – 66 points – Up

Tout ça en prenant en considération les indications Up et Down, qui montrent si une équipe récolte (ou pas) plus d’un point par match, depuis les dix derniers.

La course s’annonce serrée… Et si le Canadien veut en faire partie, il devra arrêter de forcer la tenue d’une prolongation à chaque rencontre.

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