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L’entrepreneuriat de P.K. Subban fait jaser au New Jersey

P.K. Subban n’est pas un joueur comme les autres. Que ce soit par son attitude dans le vestiaire ou par ses gestes loin de l’aréna, les agissements de l’athlète font jaser. Je ne pense pas rien apprendre aux partisans du Canadien, compte tenu du fait qu’il s’agit de la raison pour laquelle il a quitté la métropole.

En fait, ce qui fait jaser, c’est justement le fait que Subban semble se considérer comme un athlète à temps partiel. C’est du moins le sentiment qui ressort de la chronique de Brett Cyrgalis, un chroniqueur du New York Sports.

Dans un texte qui semble parfois avoir été écrit pour parler d’Eugénie Bouchard, M. Cyrgalis débute fort en mentionnant que Subban devrait être gêné de ses comportements. La raison? Il ne se concentre pas assez sur son équipe, les Devils, qu’il ne se concentre sur son brand personnel.

Il cite notamment le fait qu’au lendemain du congédiement de John Hynes (à qui il attribue une partie du congédiement, d’ailleurs), le défenseur était à un événement Red Bull en tant qu’ambassadeur. Il a été présenté à titre de « gagnant du trophée Norris, qu’entrepreneur et que philanthrope » aux gens présents. Alors qu’il se prépare à retourner à Nashville et que son nouvel entraîneur tente de s’imposer, il voit son plus gros défenseur (en théorie) se promouvoir plus souvent qu’autrement.

Il a aussi lancé sa chaîne YouTube récemment, présentant les dessous de sa vie avec Lindsey Vonn.

Au New Jersey, l’équipe avait déclaré lors de son arrivée que le couple qu’il forme allait faire rayonner l’organisation. Cela se retourne toutefois contre eux en raison de la tournure de la saison des siens.

J’imagine que les partisans du Canadien ici n’ont pas été étonnés. Ce qui est à retenir, ce que plus ça change, plus c’est pareil.

Rappelons que le défenseur connaît une campagne pénible. En 27 matchs cette saison, il ne compte que cinq points, dont deux filets.

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