Dans les semaines qui ont précédé le processus d'agents libres, le bruit qui courait, c'était que Brad Marchand était à l'argent.
Si une équipe était prête à lui offrir un gros montant d'argent, les chances étaient bonnes que le vétéran considère l'équipe en juillet. C'était ça, le vibe du moment pour Marchand.
C'était son droit de choisir ou non une telle avenue.
Même s'il a accepté un contrat différent pour rester à Sunrise, le fait de signer pour 32 M$ (un montant qui circulait dans son cas) en Floride, à 37 ans, s'inscrit dans cette mentalité-là. Oui, le contrat est sur six ans… mais on sait tous que c'est une ruse puisqu'il ne jouera pas jusqu'à 43 ans.
Ceci dit, il aurait pu avoir encore plus d'argent.
Selon les informations de Jimmy Murphy, qui écrit pour le compte de RG média, le Mammoth de l'Utah était plus que prêt à amener Marchand en ville s'il avait eu envie d'explorer cette possibilité-là.
Dans les faits, les « nouveaux Coyotes » (qui dépensent pas mal plus que l'ancien club de l'Arizona) auraient été prêts à mettre 10 M$ par année, selon une source de Murphy, si Marchand avait été agent libre.
👀 Source: “Utah was ready to beat any offer for Marchand.”
Before Brad re-upped with Florida, the Mammoth were circling with $10M AAV in hand.
Full breakdown via @murphyslaw74 ⬇️ https://t.co/TAcdv022Sv
— RG (@TheRGMedia) July 1, 2025
Clairement, Marchand est vu comme un joueur qui change la donne dans une équipe. Les Maple Leafs, par exemple, avaient aussi Marchand comme priorité sur leur liste, selon Chris Johnston.
Chris Johnston: It might be late July and into August until [the Maple Leafs] finally complete the picture here; Marchand was their #1 target; make no mistake, this is not the Leafs roster as it will be comprised in training camp – TSN
— NHL Rumour Report (@NHLRumourReport) July 2, 2025
Mais Marchand n'a jamais atteint l'autonomie. Il a préféré rester chez les Panthers, dans un environnement qu'il a appris à aimer au cours des derniers mois, pour se battre à nouveau pour la Coupe Stanley.
Et il est difficile de le blâmer.