Le fils de Patrick Roy : « Mon père s’entend très bien avec Lou Lamoriello »

Ça fait un peu plus d’un an que Patrick Roy est l’entraîneur-chef des Islanders de New York.

Il a réussi un gros coup en amenant son équipe en séries éliminatoires lors de la dernière saison, mais les Isles connaissent plus de difficultés depuis le début de la campagne.

Ils sont à quatre points des Red Wings et d’une place en séries à l’heure d’écrire ces lignes puisqu’ils ont gagné sept de leurs 10 derniers matchs. Avant cette séquence-là, c’était plus ardu…

Le club n’allait pas super bien et il y a même eu des rumeurs voulant que Roy perde son emploi.

On connaît le caractère fumant de Lou Lamoriello, après tout. Mais ce n’est jamais arrivé au final.

Le fils de Patrick Roy, Frédérick, a passé son message dans une récente entrevue avec le journaliste Mikaël Lalancette (Le Soleil).

Roy et Lamoriello – même si les Isles ne sont pas dans le portrait des séries en ce moment – s’entendent encore super bien. 

Mon père est content, il adore la ville, il s’entend très bien avec Lou Lamoriello. Je le sens très heureux. – Frédérick Roy

L’entrevue en question se retrouve juste ici : 

Le fils de Patrick Roy n’était pas pour dire le contraire, mais il n’était pas obligé de commenter sa relation avec Lou Lamoriello non plus.

Il n’a pas dit ça pour rien. Encore là… Surtout avec ce qui circule à l’endroit du pilote des Islanders depuis quelques semaines. 

Mais ultimement, Roy est le gars parfait avec les Islanders et de savoir qu’il se plaît au sein de l’organisation, ça devrait envoyer un message aux dirigeants.

Il fait ce qu’il peut pour diriger une équipe qui n’a pas énormément de talent dans son alignement.

Et il a le caractère pour changer les choses à New York.

Il dit ce qu’il pense à voix haute pour être honnête avec les partisans et ça lui permet de bâtir une connexion aussi avec les fans :

Je ne vois pas pourquoi les Islanders voudraient s’en départir, pour le dire d’une autre façon.

Et j’ai l’impression aussi que c’est un peu ce qu’a voulu insinuer Frédérick Roy dans ses commentaires.

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