Une saison complète sans congédiement, c’est extrêmement long. Habituellement, plusieurs équipes procèdent à un congédiement au courant de la saison régulière, à la recherche de réponses et de meilleures performances.
Cette saison, par contre, c’est loin d’être pareil. Avec de 4 à 6 matchs à disputer, selon les équipes, on n’a toujours pas vu un entraîneur perdre son emploi, et on n’en verra probablement pas un d’ici la fin de la saison régulière.
Ce sera d’ailleurs la première fois depuis 1966-1967… lorsqu’il y avait encore 6 équipes dans la Ligue.
En théorie, une telle inactivité entre les mois d’octobre et avril est signe précurseur de quelques changements lors de la saison morte.
Dès que la saison prendra fin, pour plusieurs équipes, les rumeurs concernant un potentiel congédiement s’enflammeront et il est très possible que celles-ci soient fondées et qu’on ait droit à une valse d’entraîneurs, comme propose Michel Bergeron.
#LNH | «Une valse des entraîneurs à venir», un texte de Michel Bergeron : https://t.co/63tzu0YLUJ pic.twitter.com/t1W924ueTL
— TVA Sports (@TVASports) March 31, 2018
Todd McLellan, qui n’a pas su mener une équipe possédant Connor McDavid en séries éliminatoires, est un des noms à retenir. Guy Boucher, Alain Vigneault, Ken Hitchcock et Joel Quenneville sont également des noms à retenir.
Pour ce qui est des tous nouveaux entraîneurs, Bergeron mentionne qu’il ne croit pas que Rick Tocchet et Phil Housley feront long feu en tant qu’entraîneurs-chef.
Ce n’est tout simplement pas leur corde.
Housley aurait peut-être dû demeurer à Nashville, à bien y penser…
Sur la liste des entraîneurs disponibles, on retrouve bien évidemment Michel Therrien et Bob Hartley… Mais également Joël Bouchard, qui devrait par contre accepter une offre dans la Ligue Américaine avant de faire le saut dans la LNH.
Ajoutons à ça beaucoup d’entraîneurs des rangs inférieurs qui intéresseront comme toujours certaines équipes… Et la valse prend tranquillement forme.
Surveillons ça de près!