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Une raison pourrait justifier la somnolence de Paul Byron

Tantôt, il était question de la petite voiture, maintenant, il est question du petit Byron, qui s’est endormi offensivement depuis quelques rencontres. Byron n’a pas l’habitude de fermer l’interrupteur. Même lorsque c’est plus ardu offensivement, le 41 offre tout de même plusieurs flashs. Ti-Paul a enregistré 23 points, dont 13 buts, en 57 matchs. Le plateau des 20 buts, qui semblait à sa portée tout récemment, semble de plus en plus loin. Un exploit qu’il ne répéterait peut-être pas pour une deuxième campagne successive.

Il n’a récolté aucun point lors de ses huit derniers matchs… et encore pire, il n’a pas marqué depuis le 19 janvier. C’est donc une disette de 11 matchs sans inscrire aucun but. C’est beaucoup. Le petit Byron est donc un brin coupable du manque offensif de cette équipe puisqu’il était un contributeur constant avant cette disette et l’an dernier.

Paul Byron qui semble moins en confiance et qui semble avoir moins d’assurance, ça peut indiquer qu’il a une blessure quelque part entre le haut et le bas du corps. Habituellement, il est facile à discerner sur la glace, mais là, il est pratiquement comme la plupart du groupe… il somnole. Non. Paul Biron ne dort pas, tout comme Brendan Gallagher ou Phillip Danault, si ça tourne moins bien, c’est qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond physiquement. Ces gars-là sont des workaholics.

Du même coup, le Canadien est peut-être en train d’instaurer une culture de perdant ou de « je m’en foustime », tout comme les Oilers. Pour recréer un nouveau climat, le vieux gazon doit être taillé ou complètement coupé. Ça prend un électrochoc en haut, qui se fera ressentir jusqu’en bas.

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