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Une donnée supplémentaire dans le dossier Cale Fleury (et les gradins)

Je me pose une question au sujet du Canadien de Montréal, en fait, je m’en pose plusieurs, mais celle-ci vient d’apparaître dans mon cerveau : Pourquoi Claude Julien s’entête-t-il à rayer Cale Fleury de la formation, alors qu’il devrait apprendre les rudiments du métier pendant une saison où tout est clairement perdu?

C’est vrai, il a joué 41 rencontres (sur 51) depuis l’amorce de la saison, ce qui n’est pas vilain. Je comprends également que Julien manage pour gagner et non développer, mais Brett Kulak au lieu de Cale Fleury, really? Disons-nous les vraies choses, Kulak a rendu de bons services au Canadien de Montréal lors de la campagne 2018-19, mais en réalité, ce qu’il a de plus que Fleury, ce sont ses 153 matchs de plus dans la Ligue nationale. Il a de l’expérience que l’autre n’a pas, c’est ainsi que le voit Claude Julien… Du moins, c’est de cette façon que je l’imagine.

Vincent Damphousse a d’ailleurs sa petite idée concernant « l’utilisation » du jeune Fleury. Ce point n’est pas fou, loin de là. Selon l’ancien capitaine du Canadien, le plan de l’organisation du Canadien de Montréal demeure compréhensible, soit de donner du temps de jeu à Marco Scandella et Brett Kulak dans le but de les échanger d’ici le 24 février. C’est plutôt le feeling de monsieur Damphousse, qui a parfois démontré beaucoup de pif.

L’argument est bon. Mais en même temps, tu as quoi en retour d’un Kulak? Un choix de 6e ronde? Aussi bien habiller Fleury afin qu’il continue d’apprendre le métier de joueur de hockey professionnel. Personnellement, ça m’excite beaucoup plus d’observer un gars physique comme Fleury qu’un gars average qui n’a rien d’éclatant comme Kulak.

Fleury n’a peut-être qu’un seul but depuis le lancement de la campagne, mais ses 102 mises en échec lui donnent certes une valeur ajoutée, non?

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