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Quand Erik Karlsson doit se fermer le clapet

Lorsque Brenden Dillon a réalisé une « erreur » sur l’un des deux buts de J.T. Compher, le numéro 65 de cette brigade défensive, Erik Karlsson, n’a pas tardé à lui remettre ça en plein visage. Le Suédois s’est permis d’enguirlander Dillon à la suite de ça, alors que quelque temps plus tard, Karlsson a eu l’air un peu fou lorsque Gabriel Landeskog en enfilé le but gagnant de l’Avalanche du Colorado.

Regardez cette séquence contre Landeskog :

Karlsson est loin d’être infaillible défensivement et il se doit, comme meneur, de retenir certains propos à l’intérieur, surtout lorsque celui-ci ne peut faire guère mieux défensivement. En plus de ça, le défenseur étoile des Sharks ne connaît pas de grands moments actuellement. Il est inconstant, il réalise quelques erreurs ici et là…

Offensivement, qui demeure sa force principale, il a récolté un total de 12 mentions d’aide en 13 joutes. Pas de problème de ce côté, mais son temps moyen est de 25 minutes 37, bon pour le 2e rang chez les défenseurs. Brent Burns joue presque quatre minutes de plus que lui en moyenne… et à moins-6, il affiche le 2e pire différentiel du groupe, derrière, tenez-vous bien, Brenden Dillon.

Pour en ajouter une couche, Eric Karlsson était sur la surface glacée lors de trois buts des quatre, inscrits par l’Avalanche du Colorado. Donc, même s’il est l’un des meilleurs défenseurs de la planète, sur cette séquence-là, il aurait dû se fermer le clapet et prendre son trou puisqu’il a été atroce défensivement.

Capture d’écran Twitter

Karlsson est l’une des pièces maîtresses des Sharks, mais ce genre de commentaire n’a pas sa place lorsque celui-ci n’est pas « sharp » plus que Dillon défensivement.

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