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Paul Byron n’est (visiblement) pas sur le marché des transactions

Depuis que le Canadien a complètement revampé son club, l’espace salarial n’est pas aussi lousse qu’avant. Mais ça, vous le saviez déjà.

Comme on sait que Marc Bergevin aime bien travailler avec une certaine marge de manœuvre, ça veut dire que tout le monde s’entend pour dire que le CH n’a probablement pas fini de bouger.

Mais qui pourrait quitter?

Le nom de Victor Mete a notamment circulé, mais ce n’est pas l’avenue la plus logique. Pourquoi? Parce qu’il gagne à peine le salaire minimum et parce qu’il peut jouer des deux côtés. Si le CH devait échanger Mete, il tenterait d’aller chercher un gars comme Mete pour compenser.

Un autre nom qui a circulé est celui de Paul Byron. Paul est aimé, mais il a deux défauts : il ne patine plus aussi vite qu’avant et il gagne trop cher.

Mais outre cela, il est encore un joueur qui peut avoir son utilité au sein de certaines équipes.

Le problème, c’est qu’il trouverait son utilité au sein d’un petit nombre de clubs. Pourquoi? Parce qu’on pense immédiatement aux Sénateurs d’Ottawa (sa ville natale), une équipe qui doit aller se chercher du salaire pour atteindre le plancher salarial.

(Crédit: YouTube.com)

C’est ce qui fait, selon ce qu’a dit Darren Dreger à TSN 690, qu’il pourrait y avoir de l’intérêt de la part de certaines équipes – comme les Sens, j’imagine – pour Byron… s’il était sur le marché.

Ceci dit, en ce moment, les équipes qui peuvent absorber son 3.4 millions de dollars par année pendant trois ans sont minces. Et ceux qui peuvent le faire demanderont probablement à ce que le CH absorbe une partie du salaire, ce qui est contre-intuitif puisque le CH ne veut pas se débarrasser du gars, mais juste de son contrat.

C’est sûrement ce qui explique pourquoi il n’y est pas, sur le marché.

Rappelons que Renaud Lavoie disait qu’ultimement, c’est Byron qui allait devoir quitter.

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