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Max Domi et Victor Mete se sont presque bagarrés

Ça brasse pas mal chez le Canadien de Montréal, encore plus depuis le cuisant revers subi hier, contre les puissants Bruins de Boston, qui ont profité des erreurs de leurs adversaires. On jase sans aucune pause de Carey Price. Aucun répit, il demeure la saveur du jour. Dites-vous une chose, le cerbère vedette du Canadien est dans un état où il semble commander du changement à ses patrons, surtout à Marc Bergevin. Phil The Thrill avance quelque chose de pas mal véridique concernant le numéro 31. Une chose à laquelle il nous a habitués lors des dernières années.

Mais t’sais, Price est reconnu pour serrer sa poche en avril et la ressortir en septembre (jamais Crosby ne fera cela) et chaque saison, il y a quelque chose (blessure, fatigue, manque de vitamine… c’est quoi cette année?). En tout cas, je ne veux pas m’attarder sur son cas puisque mon collègue DLC a tout livré au sujet de Carey Price.

Revenons plus tôt à l’entraînement intense du Canadien de Montréal, où les joueurs n’ont pas chômé. Pas question de rester les pieds dans le béton, on s’est entraîné comme des trains, avec beaucoup d’intensité et de frustration. On a eu la chance d’observer Max Domi et Nick Suzuki travailler l’un contre l’autre de façon très intense, comme on voit les joueurs le faire en pleine partie. Aucune demi-mesure.

Puis, il y a également cette frustration palpable qui se produit tout de même régulièrement lorsque les choses tournent au vinaigre. Lorsqu’une équipe va moins bien collectivement, que des joueurs réalisent trop d’erreurs et que les séquences léthargiques sont populaires, il n’est pas surprenant que deux joueurs en viennent au coup. C’est presque ça qui s’est produit ce matin entre Max Domi et Victor Mete.

Mete a toutefois respecté ce que Dale Hunter lui a déjà précisé lors de son séjour de trois saisons chez les Knights de London : si tu jettes les gants, tu ne joueras plus.

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