Le directeur général du Canadien de Montréal, Marc Bergevin, s’est présenté devant les lentilles afin de jaser de son bébé. Évidemment, on a retenu deux ou trois « liners » qui nous ont interpellés. Le boss s’est présenté pour « ajourner » le dossier Jesperi Kotkaniemi, qui n’est pas encore prêt à renouer avec l’action (il attend le feu vert). Berg a d’ailleurs indiqué une petite particularité concernant la blessure du jeune finlandais.
Il a une faiblesse au niveau de son corps, il avait de la misère à pousser, donc c’est pour ça qu’il a eu des hauts et des bas en début de saison. On est donc prudent avec lui. – Bergevin
Des faiblesses? Est-ce que son entraînement intensif lors de la dernière saison estivale et y pour quelque chose? On est en droit de se questionner à cet effet puisque rien ne tourne rond depuis cette prise de poids. Par contre, il est important de souligner que Kotkaniemi est encore jeune et qu’il demeure en processus d’apprentissage.
(Crédit: Capture d’écran Facebook)
Le (KK) renvoyé à Laval, Marc?
Ce n’est pas dans les cartes pour le moment! – Bergevin
Bergevin est-il satisfait de Ryan Poehling?
On lui donne du « slack » parce qu’il n’est pas habitué de jouer à l’aile gauche. On le veut au centre et c’est pour ça qu’il est mieux à Laval en ce moment. – Bergevin
À travers ses propos, il a rappelé que ce n’était pas évident d’être l’auxiliaire de Carey Price. Carey est présentement sur un rythme de 66-67 matchs et le Canadien va travailler pour diminuer un brin son nombre de départs, toujours selon Marc Bergevin. Keith Kinkaid est également conscient qu’il doit faire mieux.
«On va travailler pour réduire le nombre de départs de Price [afin de ne pas l'épuiser]» – Bergevin
— TVA Sports (@TVASports) November 13, 2019
Ah oui, lorsqu’on lui a demandé s’il était content que Shea Weber lui donne raison pour la transaction impliquant Subban, il a souri avant de répondre.
Cela dit, il est très fier de son coaching staff. Et à ce sujet, tout comme François Gagnon, je crois que le Canadien voulait donner congé à son entraîneur-chef, Claude Julien.
Bergevin était dans ses dispositions habituelles, c’est-à-dire, à l’image des autres entrevues qu’il a données au préalable.