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Les joueurs des Hurricanes se sont moqués (à leur tour) de Don Cherry

Le jeune milliardaire Tom Dundon a été clair lorsqu’il a acheté les Hurricanes de la Caroline. Il souhaite gagner… Et pas par de petits pointages. Et tant qu’à perdre, aussi bien perdre 6 à 5!

Il a de quoi être heureux ces jours-ci. Son équipe a remporté ses trois derniers matchs. 4 à 3 jeudi dernier…

3 à 0 samedi…

Et 6 à 1 (à domicile) hier soir. Les pauvres Kings n’ont jamais été dans le coup.

Tom Dundon et Don Waddell ont décidé de ne pas sacrifier l’avenir de leur organisation lundi… Mais ils ont aussi priorisé l’approche de ne pas vendre leurs assets. Seul Tomas Jurco est débarqué lundi, alors que Cliff Pu a quitté. Un statu quo qui semble avoir plu aux joueurs et aux partisans…

Si les séries s’amorçaient aujourd’hui, les Canes seront du portrait. Ils occupent le troisième rang de la division Métropolitaine, à égalité avec les Penguins et un point devant les Blue Jackets.

Hier soir, les joueurs ont encore une fois souligné leur victoire à domicile avec une célébration collective d’après-match. Rappelons qu’il y a dix jours, Don Cherry a traité les joueurs des Hurricanes d’abrutis en raison de ce type de célébrations

Sincèrement, les Canes ont possiblement sorti leur meilleure célébration ever hier. Ils l’avaient préparée.

Les joueurs ont d’abord quitté la patinoire après la fin de la rencontre.

La mascotte de l’équipe s’est mise à faire embarquer les spectateurs de l’équipe avec le slow hand clap (aussi appelé viking clapping).

Ensuite, l’équipe est revenue sur la glace… Alors qu’un Bunch of Jerks apparaissait via un jeu de lumière. Wow!

Pas de jeu de quilles, de joute de air baseball ou de limbo… Juste une belle réplique à un gars de 85 ans qui est payé pour d’abord et avant tout lancer des commentaires controversés. J’adore la réplique des Canes!

Même le commissaire Gary Bettman se dit en faveur de ces célébrations de joie!

Les joueurs aiment le faire. Les fans aiment le voir. Ils se « connectent » désormais différemment au jeu de la LNH. C’est pourquoi Gary Bettman, qui se dit un ami de Don Cherry, n’a pas peur de dire qu’il est en désaccord avec lui sur ce point précis là.

Chaque marché doit être traité de façon individuelle. Si les célébrations d’après-victoire fonctionnent à Raleigh – là où le hockey n’est clairement pas le sport #1 -, pourquoi un gars au Canada devrait s’en insurger?

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