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Les grosses signatures des agents libres affectent les paris

Le 1er juillet, c’était l’ouverture du marché des agents libres au sein de la Ligue nationale. La seule longue balle a été la signature de John Tavares avec les Maple Leafs de Toronto. Dans la même semaine, les joueurs libres oeuvrant au sein de la NBA peuvent également décrocher de nouveaux pactes. Des accords pas mal plus lucratifs qu’un joueur de la Ligue nationale. LeBron James, qui a décidé de tester ce marché n’a pas tardé à s’entendre avec les Lakers de Los Angeles, qui sont aussitôt devenus prétendants. Un contrat de neuf chiffres (154 millions de dollars) qui seront distribués lors des quatre prochaines campagnes.

Écartons-nous un tantinet du hockey le moment d’un article. Restons dans les coulisses « riches » de la NBA. Tout juste avant que James appose sa signature sur un contrat de quatre copies que lui a étalé l’organisation des Lakers, cette équipe n’était pas parmi les favorites afin de rafler le prochain championnat. Par contre, à la suite de ça, les paris sportifs ont rapidement modifié à l’annonce de cette nouvelle, plaçant les Lakers derrière Houston, Philadelphie et Boston. Depuis cinq ans, les Lakers ne font partie que des paris de médiocrité. Cette équipe a récolté seulement 35 gains l’an passé et elle n’a pas accédé aux éliminatoires lors des cinq dernières années.

Évidemment, les Warriors de Golden State n’ont pas tardé à répondre à leurs adversaires en mettant sous contrat le pivot étoile, DeMarcus Cousins. Cousins a paraphé un pacte d’un an et 5.3 millions de dollars.

Pour revenir à James, en quittant Cleveland pour L.A., les odds sont devenus inversés avec un seul joueur. Le meilleur du circuit a nettement fait chuter les odds des Cavaliers, qui se retrouvent désormais très loin. Pour Houston, les ajouts des Lakers et des Warriors est un mauvaise nouvelle pour eux, qui ont remporté 65 joutes en 2017-18. Dans le cas des Raptors, avec le départ de James de la conférence de l’Est, ça permet à ceux-ci de respirer plus aisément… tout en augmentant les odds de leur côté.

C’est également comme ça du côté de la LNH. Par exemple, avec l’arrivée de John Tavares à Toronto et le fait que les Islanders n’aient pas ajouté de grosses pièces, ça augmente les chances d’un côté et les diminue de l’autre. Les changements sont toutefois moins majeurs qu’au sein de la NBA.

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